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Fiches UE2 pour RAG bot WhatsApp   – 20 documents

📂 Fiches UE2 – 20 documents

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1. Préparation sol tropical léger

1. Préparation sol tropical léger

FR :

  • Labour superficiel (15–20 cm).
  • Apport compost 5–10 t/ha.
  • Tester pH (idéal 6–7).
  • Paillage avant semis pour conserver humidité.

MG :

  • Fandavahana tsotra (15–20 sm).
  • Komposta 5–10 t/ha.
  • Hamarino pH (6–7).
  • Mulch alohan’ny famafazana.

📘 Sous-sujet 1 : Labour superficiel (15–20 cm)

Q1 : Pourquoi limiter le labour à 15–20 cm en zone tropicale ?

R :

  1. Préserver la microfaune du sol (vers, bactéries, champignons).
  2. Éviter de remonter les couches pauvres en nutriments.
  3. Maintenir l’horizon de surface riche en matière organique.
  4. Réduire les risques d’érosion liés au retournement profond.
  5. Conserver la porosité naturelle du sol.
  6. Favoriser une meilleure infiltration de l’eau.
  7. Limiter la minéralisation trop rapide de la matière organique.
  8. Réduire la consommation d’énergie (tracteur ou travail manuel).
  9. Adapter la profondeur aux racines des cultures vivrières courtes.
  10. Préparer un lit de semences favorable sans bouleverser la structure.

Q2 : Quel outil est recommandé pour un labour superficiel manuel ?

R :

  1. La houe traditionnelle (daba, angady).
  2. La bêche plate pour ameublir sans retourner.
  3. Le râteau lourd pour casser les mottes superficielles.
  4. Une grelinette (si disponible, importée ou locale).
  5. Les sarcloirs pour petits jardins maraîchers.
  6. Outils attelés légers (charrue simple, butteur).
  7. Cultivateur manuel à dents.
  8. Motoculteur léger (si disponible en coopérative).
  9. Pioches modifiées pour sols durs.
  10. Adaptations locales en fer forgé fabriquées par artisans.

Q3 : Quel risque si le labour est trop profond ?

R :

  1. Remonter des couches stériles pauvres en humus.
  2. Diluer la matière organique dans l’horizon inférieur.
  3. Augmenter le dessèchement du sol.
  4. Favoriser l’érosion hydrique et éolienne.
  5. Détruire les galeries de vers de terre.
  6. Endommager les racines profondes des cultures pérennes.
  7. Créer une semelle de labour (couche compacte).
  8. Demander plus d’énergie (fatigue, carburant).
  9. Accélérer la perte d’azote par lessivage.
  10. Perturber les équilibres microbiens du sol.

Q4 : Quand réaliser le labour superficiel ?

R :

  1. Avant la saison des pluies (facilite infiltration).
  2. 2–3 semaines avant semis pour stabiliser le sol.
  3. À l’apparition des premières pluies légères.
  4. Jamais en sol trop humide (risque tassement).
  5. Ni en saison sèche très dure (effort inutile).
  6. Adapter au calendrier cultural local (riz, maïs, tomate…).
  7. Quand les adventices sont jeunes (facile à enfouir).
  8. Après un apport de compost (pour bien incorporer).
  9. Si nécessaire après une jachère pour rouvrir le sol.
  10. Juste avant semis direct, si on utilise un semoir manuel.

Q5 : Quelle est la différence entre labour et décompactage ?

R :

  1. Labour = retourne la terre ; décompactage = fissure sans retourner.
  2. Le labour enfouit les résidus ; décompactage les laisse en surface.
  3. Le décompactage préserve les horizons naturels.
  4. Le labour est plus énergivore.
  5. Décompactage limite l’érosion.
  6. Labour utile pour enfouir engrais verts.
  7. Décompactage utile en cas de semelle de labour.
  8. Labour détruit parfois la microfaune de surface.
  9. Décompactage favorise infiltration verticale.
  10. Les deux sont complémentaires selon culture et sol.

Q6 : Quel avantage pour les racines ?

R :

  1. Meilleure pénétration des radicelles.
  2. Moins de résistance mécanique du sol.
  3. Plus grande exploration horizontale.
  4. Plus grande exploration verticale.
  5. Accès facilité aux nutriments.
  6. Accès facilité à l’humidité en profondeur.
  7. Réduction du stress hydrique.
  8. Développement racinaire plus équilibré.
  9. Réduction des maladies liées à l’asphyxie racinaire.
  10. Meilleure fixation de la plante contre le vent.

Q7 : Pourquoi éviter le labour en saison trop humide ?

R :

  1. Risque de tassement.
  2. Formation de mottes compactes difficiles à émietter.
  3. Asphyxie des racines par excès d’eau.
  4. Difficulté à travailler manuellement.
  5. Augmentation de l’érosion de surface.
  6. Retard de décomposition de la matière organique.
  7. Perte de structure granulaire.
  8. Développement d’adventices aquatiques.
  9. Difficulté d’accès au champ (machines bloquées).
  10. Gaspillage d’énergie inutile.

Q8 : Quelle est la fréquence idéale du labour superficiel ?

R :

  1. Une fois par cycle de culture annuelle.
  2. Pas plus de 2 fois pour éviter déstructuration.
  3. Alternativement avec décompactage si nécessaire.
  4. Espacement plus grand en sols sableux (moins besoin).
  5. Plus fréquent en sols argileux lourds.
  6. Dépend du système de rotation choisi.
  7. Idéalement associé au paillage pour réduire fréquence.
  8. Limiter en agriculture de conservation (sol couvert).
  9. Dans les potagers : 1–2 fois par an.
  10. Dans grandes cultures : 1 fois, avant saison principale.

Q9 : Le labour superficiel contrôle-t-il les mauvaises herbes ?

R :

  1. Oui, en enfouissant les plantules jeunes.
  2. Moins efficace si les herbes sont matures.
  3. Combinez avec paillage pour efficacité durable.
  4. Limite la banque de graines en surface.
  5. Attention, peut stimuler certaines adventices profondes.
  6. Efficace sur herbes annuelles.
  7. Moins efficace sur vivaces (chiendent, cyperus).
  8. Peut être complété par désherbage manuel.
  9. Préventif s’il est fait tôt.
  10. Durée de contrôle = 2–3 semaines sans paillage.

Q10 : Quel indicateur visuel d’un bon labour superficiel ?

R :

  1. Profondeur uniforme 15–20 cm.
  2. Sol émietté, sans grosses mottes.
  3. Couleur homogène.
  4. Résidus végétaux incorporés.
  5. Surface plane, nivelée.
  6. Pas d’eau stagnante après pluie.
  7. Pas de racines vivantes visibles.
  8. Odeur de terre fraîche.
  9. Présence de galeries de vers de terre intactes.
  10. Facilité du semis manuel ou au semoir.


📘 Sous-sujet 2 : Apport compost (5–10 t/ha)

Q1 : Pourquoi apporter 5–10 t/ha de compost en zone tropicale ?

R :

  1. Améliore la fertilité chimique (apport NPK).
  2. Enrichit en matière organique stable.
  3. Augmente la rétention d’eau dans sols sableux.
  4. Améliore la structure des sols argileux.
  5. Relance l’activité biologique (vers, microbes).
  6. Protège les nutriments contre le lessivage.
  7. Réduit l’acidité du sol.
  8. Fournit des oligo-éléments (B, Zn, Fe).
  9. Améliore la germination et vigueur des plantules.
  10. Augmente les rendements de manière durable.

Q2 : Quelle est la meilleure période pour incorporer le compost ?

R :

  1. 2–3 semaines avant semis.
  2. Avant la première pluie utile.
  3. En saison sèche pour compost mûr, stocké.
  4. Après récolte précédente (préparation prochaine saison).
  5. Jamais sur sol saturé en eau.
  6. Si culture pérenne → au début des pluies.
  7. Dans potager → à chaque cycle court.
  8. Associer avec labour superficiel.
  9. Appliquer uniformément sur la parcelle.
  10. Éviter en plein soleil brûlant (pertes azote).

Q3 : Que risque-t-on si le compost est insuffisamment mûr ?

R :

  1. Brûlure des racines (excès ammoniac).
  2. Développement pathogènes (champignons, mouches).
  3. Consommation d’azote par microbes (faim d’azote).
  4. Odeurs désagréables (fermentation).
  5. Augmentation adventices (graines non détruites).
  6. Montée de température dans le sol.
  7. Diminution germination semences.
  8. Attirance insectes nuisibles.
  9. Diminution rendement initial.
  10. Risque sanitaire pour maraîchage.

Q4 : Quelle est la différence entre compost de surface et compost enfoui ?

R :

  1. Surface protège contre érosion.
  2. Enfoui libère plus vite nutriments.
  3. Surface garde humidité.
  4. Enfoui nourrit directement racines.
  5. Surface favorise vie microbienne en haut.
  6. Enfoui réduit pertes azote par volatilisation.
  7. Surface agit comme paillage.
  8. Enfoui améliore structure interne.
  9. Surface plus pratique pour petits jardins.
  10. Les deux sont complémentaires.

Q5 : Comment ajuster la dose de compost selon le sol ?

R :

  1. Sol sableux pauvre → 10 t/ha.
  2. Sol argileux lourd → 5 t/ha.
  3. Sols maraîchers intensifs → 8–10 t/ha.
  4. Sols acides → plus de compost riche en cendres.
  5. Sols alcalins → compost végétal pur.
  6. Sols en pente → plus de compost de surface.
  7. Sols hydromorphes → compost léger, bien drainé.
  8. Petites parcelles potagères → 1–2 kg/m².
  9. Cultures gourmandes (tomate, chou) → dose haute.
  10. Cultures rustiques (manioc, patate) → dose basse.

Q6 : Quels matériaux locaux utiliser pour fabriquer du compost ?

R :

  1. Fumiers bovins, caprins, volailles.
  2. Résidus de cultures (tiges, feuilles).
  3. Herbes coupées.
  4. Feuilles mortes.
  5. Déchets de cuisine végétaux.
  6. Cendres de bois (apport K, Ca).
  7. Coques d’arachide, fibres coco.
  8. Sciures non traitées.
  9. Algues séchées (zones côtières).
  10. Eau pour humidifier le tas.

Q7 : Peut-on combiner compost et engrais minéraux ?

R :

  1. Oui, complémentarité prouvée.
  2. Compost améliore efficacité des engrais.
  3. Réduit pertes par lessivage.
  4. Permet de réduire dose minérale.
  5. Améliore disponibilité P et K.
  6. Stabilise pH lors apport N.
  7. Fournit micronutriments non présents dans engrais chimiques.
  8. Allonge effet dans le temps.
  9. Rend sol plus résilient.
  10. Bon compromis coût/rendement.

Q8 : Comment vérifier la maturité du compost ?

R :

  1. Odeur de terre fraîche.
  2. Couleur sombre, noire.
  3. Température redevenue ambiante.
  4. Texture friable.
  5. Disparition des matières reconnaissables.
  6. Pas de chaleur dégagée.
  7. Humidité équilibrée (test poignée).
  8. pH neutre (~7).
  9. Présence de vers de terre.
  10. Pas d’odeur ammoniacale.

Q9 : Le compost réduit-il les maladies ?

R :

  1. Oui, stimule microbes bénéfiques.
  2. Supprime pathogènes du sol.
  3. Améliore résistance plantes.
  4. Réduit pourritures racinaires.
  5. Diminue fusariose tomate.
  6. Compétition microbienne.
  7. Produit antibiotiques naturels.
  8. Améliore drainage → moins champignons.
  9. Nourrit plantes équilibrées.
  10. Baisse besoin pesticides.

Q10 : Quelle fréquence d’apport de compost par parcelle ?

R :

  1. Une fois par an minimum.
  2. Avant chaque saison culturale.
  3. 2 cycles/an pour maraîchage intensif.
  4. Tous les 2–3 ans pour cultures rustiques.
  5. Chaque rotation introduit compost.
  6. Dose modulée selon culture.
  7. Compléter avec paillage entre apports.
  8. Fertigation possible avec compost liquide.
  9. Maintenir fertilité long terme.
  10. Intégré dans plan global fertilisation.

📘 Sous-sujet 3 : Tester pH (idéal 6–7)

Q1 : Pourquoi viser un pH entre 6 et 7 ?

R :

  1. Zone neutre pour la plupart des cultures.
  2. Nutriments disponibles (N, P, K).
  3. Oligo-éléments mieux assimilés.
  4. Réduit toxicité Al et Mn.
  5. Favorise microbes du sol.
  6. Optimise croissance racinaire.
  7. Augmente efficacité engrais.
  8. Bon équilibre chimique.
  9. Réduit maladies liées à stress.
  10. Rendement maximum atteint.

Q2 : Comment tester le pH simplement au champ ?

R :

  1. Bandelettes colorées.
  2. Kit pH sol portable.
  3. pH-mètre électronique.
  4. Méthode vinaigre (effervescence).
  5. Méthode bicarbonate.
  6. Envoyer échantillon au labo.
  7. Mélanger sol + eau distillée.
  8. Mesure sur jus compost dilué.
  9. Comparer avec sols voisins connus.
  10. Suivi annuel consigné cahier.

Q3 : Que signifie un pH < 5,5 ?

R :

  1. Sol acide.
  2. Risque toxicité aluminium.
  3. Carence calcium.
  4. Blocage phosphore.
  5. Faible activité biologique.
  6. Croissance racinaire réduite.
  7. Rendement faible.
  8. Besoin amendement calcaire.
  9. Cultures sensibles touchées (maïs, chou).
  10. Culture acido-tolérante possible (patate douce).

Q4 : Comment corriger un sol trop acide ?

R :

  1. Apport chaux agricole.
  2. Utiliser dolomie (Ca + Mg).
  3. Cendres bois.
  4. Compost riche MO.
  5. Engrais verts (légumineuses).
  6. Appliquer fractionné.
  7. Éviter excès (bloque P).
  8. Répéter tous 2–3 ans.
  9. Incorporer uniformément.
  10. Surveiller pH après correction.

Q5 : Que signifie un pH > 7,5 ?

R :

  1. Sol alcalin.
  2. Blocage phosphore.
  3. Carence fer, zinc.
  4. Croissance chlorotique.
  5. Activité biologique réduite.
  6. Engrais peu efficaces.
  7. Rendement limité.
  8. Adapté à peu de cultures.
  9. Stress pour riz et maïs.
  10. Demande pratiques correctives.

Q6 : Comment corriger un sol trop alcalin ?

R :

  1. Apport compost végétal.
  2. Utiliser fumier décomposé.
  3. Incorporer soufre élémentaire.
  4. Engrais acidifiants (urée).
  5. Paillage avec matières fraîches.
  6. Plantation cultures acidophiles.
  7. Apporter gypse (CaSO4).
  8. Fractionner irrigation pour lessiver sels.
  9. Ajouter résidus acides (coques café).
  10. Suivre pH régulièrement.

Q7 : Combien de fois tester le pH dans l’année ?

R :

  1. Avant saison des pluies.
  2. Avant plantation cultures sensibles.
  3. Après apport compost.
  4. Après chaulage.
  5. 1 fois/an minimum.
  6. 2–3 fois/an pour maraîchage.
  7. Contrôler zones hétérogènes.
  8. Tenir registre pH.
  9. Comparer années successives.
  10. Associer avec analyse sol.

Q8 : Le pH varie-t-il selon profondeur ?

R :

  1. Oui, gradient vertical.
  2. Surface plus acide.
  3. Profondeur plus neutre.
  4. Dépend texture.
  5. Dépend apport surface (cendres, engrais).
  6. Lessivage accentue acidité surface.
  7. Pédogenèse locale influence.
  8. Racines modifient micro-pH.
  9. Variabilité à mesurer (0–20 cm, 20–40 cm).
  10. Intéressant pour cultures profondes.

Q9 : Pourquoi éviter pH < 5 pour maïs/riz ?

R :

  1. Mauvaise germination.
  2. Racines limitées.
  3. Carence phosphore.
  4. Absence calcium.
  5. Toxicité aluminium.
  6. Croissance faible.
  7. Mauvaise résistance sécheresse.
  8. Sensibilité maladies.
  9. Mauvaise réponse engrais.
  10. Baisse rendement > 30 %.

Q10 : Quels légumes tolèrent un pH acide ?

R :

  1. Patate douce.
  2. Igname.
  3. Ananas.
  4. Arachide.
  5. Taro.
  6. Voanemba (niébé).
  7. Manioc.
  8. Gingembre.
  9. Curcuma.
  10. Thé.

📘 Sous-sujet 4 : Paillage avant semis (conserver humidité)

Q1 : Pourquoi pailler avant semis en zone tropicale ?

R :

  1. Limite évaporation.
  2. Conserve humidité.
  3. Protège sol contre chaleur.
  4. Réduit battance pluie.
  5. Limite lessivage.
  6. Améliore germination.
  7. Encourage activité biologique.
  8. Réduit érosion.
  9. Stabilise microclimat.
  10. Améliore rendement.

Q2 : Quels matériaux utiliser pour paillage ?

R :

  1. Paille riz.
  2. Herbes sèches.
  3. Feuilles mortes.
  4. Coques arachide.
  5. Fibres coco.
  6. Bagasse canne.
  7. Coques café/cacao.
  8. Sciure non traitée.
  9. Papier carton biodégradable.
  10. Compost demi-mûr.

Q3 : Quelle épaisseur idéale ?

R :

  1. 5 cm pour cultures maraîchères.
  2. 10 cm pour cultures gourmandes.
  3. Plus épais en saison sèche.
  4. Plus fin en saison humide.
  5. Éviter >15 cm.
  6. Maintenir uniformité.
  7. Adapter selon matériau.
  8. Renouveler si décomposition rapide.
  9. Plus dense en sol sableux.
  10. Moins dense en sol argileux.

Q4 : Paillage empêche-t-il levée graines ?

R :

  1. Non si léger au semis.
  2. Laisser ligne dégagée.
  3. Poser après germination.
  4. Éviter couche >5 cm au-dessus semis direct.
  5. Bien arroser après semis.
  6. Utiliser matériaux fins.
  7. Retirer excès si germination lente.
  8. Pailler seulement entre lignes.
  9. Adapter densité.
  10. Favoriser levée homogène.

Q5 : Effet sur adventices ?

R :

  1. Réduit germination graines.
  2. Empêche lumière atteindre sol.
  3. Difficile pour adventices annuelles.
  4. Limite besoin désherbage manuel.
  5. Complément rotation.
  6. Paillage épais bloque cyperus partiellement.
  7. Combine avec binage.
  8. Réduit herbicides nécessaires.
  9. Moins d’herbes = plus d’eau pour culture.
  10. Rend travail plus facile.

Q6 : Influence sur température sol ?

R :

  1. Réduit surchauffe.
  2. Maintient fraîcheur saison sèche.
  3. Stabilise variations jour/nuit.
  4. Protège racines superficielles.
  5. Favorise germination régulière.
  6. Limite chocs thermiques.
  7. Réduit stress hydrique.
  8. Favorise microbes thermosensibles.
  9. Améliore croissance semis.
  10. Rend sol plus résilient.

Q7 : Paillage + compost, possible ?

R :

  1. Oui, très recommandé.
  2. Compost apporte nutriments.
  3. Paillage conserve humidité.
  4. Ensemble augmente fertilité.
  5. Moins de pertes N.
  6. Compost enfoui + mulch surface.
  7. Meilleure vie microbienne.
  8. Système agroécologique durable.
  9. Bon pour maraîchage bio.
  10. Réduit intrants extérieurs.

Q8 : Risques paillage trop épais ?

R :

  1. Excès humidité.
  2. Développement champignons.
  3. Difficulté levée graines.
  4. Refuge limaces.
  5. Attire termites.
  6. Décomposition anaérobie.
  7. Production méthane.
  8. Asphyxie racines jeunes.
  9. Mauvaise aération.
  10. Gaspillage biomasse.

Q9 : Faut-il renouveler paillage ?

R :

  1. Oui, car décomposition rapide.
  2. Tous 1–2 mois.
  3. À chaque cycle.
  4. Après fortes pluies.
  5. Selon culture.
  6. Ajouter couches minces régulièrement.
  7. Utiliser compost en plus.
  8. Remplacer matériaux disparus.
  9. Observer sol avant décision.
  10. Faire suivi carnet de champ.

Q10 : Paillage réduit-il attaques insectes ?

R :

  1. Indirectement, en améliorant vigueur plante.
  2. Abrite auxiliaires (araignées, carabes).
  3. Réduit stress → moins sensible.
  4. Diminue éclaboussures maladies.
  5. Attire ennemis naturels.
  6. Perturbe cycle mouches sol.
  7. Moins d’herbes → moins insectes vecteurs.
  8. Mais peut abriter limaces/termites.
  9. Nécessite surveillance.
  10. Globalement effet positif.

2. Préparation sol argileux

FR :

  • Décompactage à dents, éviter retournement.
  • Drainage (buttes, billons).
  • Compost bien mûr 8 t/ha.
  • Couverture végétale (mucuna, crotalaria).

MG :

  • Fanalefahana, tsy manodina tanteraka.
  • Fanamboarana tatatra.
  • Komposta masaka 8 t/ha.
  • Voly famonosana (mucuna, crotalaria).


📘 Sous-sujet 1 : Décompactage à dents, éviter retournement

Q1 : Pourquoi privilégier le décompactage à dents plutôt que le labour profond ?

R :

  1. Aère le sol sans bouleverser les horizons.
  2. Préserve la microfaune et les champignons mycorhiziens.
  3. Permet une infiltration plus profonde de l’eau.
  4. Réduit la formation de semelle de labour.
  5. Maintient la matière organique en surface.
  6. Évite la remontée d’éléments stériles.
  7. Diminue la consommation d’énergie.
  8. Protège la structure granulaire du sol.
  9. Favorise la pénétration des racines en profondeur.
  10. Procédé adapté à l’agroécologie de conservation.

Q2 : Quels outils utiliser pour le décompactage à dents ?

R :

  1. Sous-soleuse à dents mécaniques.
  2. Décompacteur attelé simple.
  3. Cultivateur à dents rigides.
  4. Charrue déchaumeuse.
  5. Grelinette manuelle (petites surfaces).
  6. Fourche-bêche renforcée.
  7. Dents courbes locales forgées.
  8. Petits motoculteurs équipés dents.
  9. Outils artisanaux adaptés aux zébus.
  10. Versions allégées pour maraîchage.

Q3 : Quand réaliser un décompactage du sol ?

R :

  1. Avant la saison des pluies.
  2. Quand le sol est ressuyé (ni trop sec ni trop humide).
  3. Après plusieurs années de labour profond.
  4. Quand la croissance des racines est freinée.
  5. Si infiltration de l’eau est faible.
  6. Après compaction par engins agricoles.
  7. Tous les 2–3 ans selon texture.
  8. Au démarrage de rotation céréales.
  9. Après cultures mécanisées intensives.
  10. Lors de préparation nouvelles parcelles.

Q4 : Quels bénéfices pour les cultures ?

R :

  1. Racines explorent plus profond.
  2. Accès eau souterraine amélioré.
  3. Meilleure absorption nutriments.
  4. Croissance plus vigoureuse.
  5. Résistance accrue à la sécheresse.
  6. Réduction asphyxie racinaire.
  7. Moins de maladies racinaires.
  8. Rendement plus régulier.
  9. Meilleure efficacité engrais.
  10. Plantes plus stables face au vent.

Q5 : Quels risques si le décompactage est mal fait ?

R :

  1. Travail trop profond = perturbe sol.
  2. Sol trop humide = tassement.
  3. Sol trop sec = casse les mottes.
  4. Mauvais réglage dents = hétérogénéité.
  5. Consommation excessive d’énergie.
  6. Blessure racines pérennes voisines.
  7. Déplacement horizon organique.
  8. Formation fissures trop larges.
  9. Mauvaise préparation lit de semis.
  10. Invasion adventices si sol nu.

📘 Sous-sujet 2 : Drainage (buttes, billons)

Q1 : Pourquoi installer un drainage par buttes/billons ?

R :

  1. Évite asphyxie racinaire.
  2. Protège cultures sensibles à l’eau.
  3. Améliore oxygénation sol.
  4. Limite maladies fongiques.
  5. Favorise infiltration latérale.
  6. Permet accès plus facile au champ.
  7. Réduit érosion en cas fortes pluies.
  8. Maintient semis hors zone inondée.
  9. Accroît rendement racines/tubercules.
  10. Pratique adaptée en zones tropicales humides.

Q2 : Quelles cultures bénéficient du billonnage ?

R :

  1. Patate douce.
  2. Manioc.
  3. Igname.
  4. Taro.
  5. Arachide.
  6. Tomate.
  7. Piment.
  8. Chou.
  9. Maïs en sols lourds.
  10. Riz pluvial sur pentes.

Q3 : Comment construire une butte efficace ?

R :

  1. Hauteur 20–30 cm minimum.
  2. Largeur adaptée (50–100 cm).
  3. Orientation selon pente.
  4. Espacement régulier (70–100 cm).
  5. Bien tasser le sommet.
  6. Incorporer compost dans la butte.
  7. Pailler après mise en place.
  8. Associer cultures complémentaires.
  9. Entretenir canaux entre billons.
  10. Renouveler chaque saison.

Q4 : Quels outils pour faire des billons ?

R :

  1. Houe/daba traditionnelle.
  2. Pioches locales.
  3. Butteur attelé zébu.
  4. Butteur tracté.
  5. Motoculteur équipé butteur.
  6. Charrue spéciale billons.
  7. Outils artisanaux adaptés.
  8. Pelle + râteau pour maraîchage.
  9. Semoir butteur.
  10. Équipe manuelle en coopérative.

Q5 : Quels risques en absence de drainage ?

R :

  1. Inondation parcelle.
  2. Racines asphyxiées.
  3. Jaunissement plants.
  4. Maladies racinaires.
  5. Pourritures tubercules.
  6. Diminution biomasse.
  7. Mort précoce plantes.
  8. Mauvaise germination.
  9. Baisse rendement sévère.
  10. Abandon parcelle trop humide.

📘 Sous-sujet 3 : Compost bien mûr 8 t/ha

Q1 : Pourquoi viser 8 t/ha de compost mûr en sol argileux ?

R :

  1. Améliore structure lourde.
  2. Allège texture.
  3. Favorise infiltration eau.
  4. Stimule vers de terre.
  5. Rend sol plus fertile.
  6. Corrige acidité.
  7. Fournit nutriments équilibrés.
  8. Limite fissures en saison sèche.
  9. Augmente capacité stockage eau.
  10. Rendement cultures plus stable.

Q2 : Quels signes d’un compost bien mûr ?

R :

  1. Couleur noire homogène.
  2. Odeur terre fraîche.
  3. Pas de chaleur.
  4. Texture friable.
  5. Graines détruites.
  6. Vers présents.
  7. Humidité équilibrée.
  8. Pas de fermentation.
  9. pH neutre.
  10. Pas d’insectes nuisibles.

Q3 : Comment épandre correctement le compost ?

R :

  1. Uniformément sur parcelle.
  2. Dose calculée (8 t/ha).
  3. Incorporation légère (10–15 cm).
  4. Avant semis.
  5. Avant pluie modérée.
  6. Sur buttes ou billons.
  7. Associer paillage.
  8. Répéter annuellement.
  9. Ajuster selon culture.
  10. Consigner dans carnet champ.

Q4 : Quels risques d’un compost non mûr ?

R :

  1. Brûlure racines.
  2. Faim d’azote.
  3. Odeur ammoniac.
  4. Développement pathogènes.
  5. Germination adventices.
  6. Montée température.
  7. Réduction rendement.
  8. Attraction mouches.
  9. Problèmes sanitaires.
  10. Décomposition lente.

Q5 : Quels bénéfices long terme du compost régulier ?

R :

  1. Améliore fertilité permanente.
  2. Structure stable.
  3. Microfaune active.
  4. Humus durable.
  5. Réduction engrais chimiques.
  6. Résilience climat.
  7. Meilleure rétention eau.
  8. Réduction maladies.
  9. Sol vivant équilibré.
  10. Systèmes agricoles durables.


📘 Sous-sujet 4 : Couverture végétale (mucuna, crotalaria)

Q1 : Pourquoi utiliser une couverture végétale ?

R :

  1. Protège sol de l’érosion.
  2. Réduit évaporation.
  3. Apporte azote (légumineuses).
  4. Limite adventices.
  5. Améliore biodiversité.
  6. Produit biomasse.
  7. Favorise infiltration eau.
  8. Régule température.
  9. Augmente carbone sol.
  10. S’intègre rotation agroécologique.

Q2 : Quels avantages du mucuna ?

R :

  1. Fixe azote atmosphérique.
  2. Croissance rapide.
  3. Couvre sol efficacement.
  4. Supprime adventices.
  5. Améliore structure sol.
  6. Contrôle nématodes.
  7. Biomasse abondante.
  8. Améliore fertilité maïs.
  9. Résistant sécheresse.
  10. S’intègre systèmes tropicaux.

Q3 : Quels avantages de la crotalaria ?

R :

  1. Légumineuse fixatrice azote.
  2. Croissance vigoureuse.
  3. Biomasse riche.
  4. Supprime nématodes.
  5. Bon fourrage vert.
  6. Couvre sol rapidement.
  7. Fleur mellifère.
  8. Adaptée sols pauvres.
  9. Facile à implanter.
  10. Améliore rendement cultures suivantes.

Q4 : Comment implanter une couverture végétale ?

R :

  1. Semis direct sur sol nu.
  2. Densité élevée.
  3. Après récolte culture principale.
  4. En interligne cultures pérennes.
  5. Irrigation si besoin.
  6. Choisir variété adaptée.
  7. Éviter semis en sol saturé.
  8. Associer plusieurs espèces.
  9. Pailler au semis pour aide.
  10. Consigner densité/date carnet champ.

Q5 : Quand détruire la couverture végétale ?

R :

  1. Avant montée en graines.
  2. Au stade floraison.
  3. Incorporer comme engrais vert.
  4. Enfouir partiellement.
  5. Pailler avec biomasse.
  6. Juste avant semis culture suivante.
  7. Détruire mécaniquement.
  8. Éviter brûlis.
  9. Associer avec compost.
  10. Maintenir couverture régulière.

3. Compost chaud tropical

FR :

  • Mélange 30% matière sèche (paille) + 70% matière verte.
  • C:N visé 25–30.
  • Arrosage régulier (50–60%).
  • Retourner 3–4 fois sur 6 semaines.

MG :

  • Afangaro 30% maina + 70% maitso.
  • C:N 25–30.
  • Tondrahana antonony.
  • Ahodina in-3/4 mandritra ny 6 herinandro.

Les grandes histoires ont une personnalité. Envisagez de raconter une belle histoire qui donne de la personnalité. Écrire une histoire avec de la personnalité pour des clients potentiels aidera à établir un lien relationnel. Cela se traduit par de petites spécificités comme le choix des mots ou des phrases. Écrivez de votre point de vue, pas de l'expérience de quelqu'un d'autre.

Les grandes histoires sont pour tout le monde, même lorsqu'elles ne sont écrites que pour une seule personne. Si vous essayez d'écrire en pensant à un public large et général, votre histoire sonnera fausse et manquera d'émotion. Personne ne sera intéressé. Ecrire pour une personne en particulier signifie que si c'est authentique pour l'un, c'est authentique pour le reste.

4. Rotation tomate – niébé

FR :

  • Tomate (saison sèche).
  • Niébé (fixation azote).
  • Briser cycle maladies (fusariose).
  • Retour tomate après min. 2 cycles.

MG :

  • Voatabia amin’ny main-tany.
  • Voanemba manampy azota.
  • Tapaka ny aretina.
  • Aza mamerina voatabia raha tsy afaka 2 tsingerina.

Les grandes histoires ont une personnalité. Envisagez de raconter une belle histoire qui donne de la personnalité. Écrire une histoire avec de la personnalité pour des clients potentiels aidera à établir un lien relationnel. Cela se traduit par de petites spécificités comme le choix des mots ou des phrases. Écrivez de votre point de vue, pas de l'expérience de quelqu'un d'autre.

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📘 Sous-sujet : Rotation tomate – niébé

Q1 : Pourquoi associer une rotation tomate – niébé ?

R :

  1. Le niébé fixe l’azote atmosphérique.
  2. Enrichit le sol en matière organique.
  3. Brise le cycle des maladies du sol (fusariose, nématodes).
  4. Améliore la structure et l’aération du sol.
  5. Réduit la dépendance aux engrais chimiques.
  6. Augmente la biodiversité microbienne.
  7. Permet une alternance entre culture gourmande et enrichissante.
  8. Équilibre le calendrier cultural (saison sèche vs saison humide).
  9. Valorise les résidus (paillage ou alimentation animale).
  10. Améliore les rendements globaux sur 2–3 cycles.

Q2 : Pourquoi planter la tomate en saison sèche ?

R :

  1. Moins de pression fongique (mildiou, alternariose).
  2. Meilleure maîtrise de l’irrigation.
  3. Fruits plus fermes et de meilleure qualité.
  4. Moins de pertes liées aux pluies violentes.
  5. Moins de fissures sur les fruits.
  6. Réduction des adventices liées à l’humidité.
  7. Moins de ravageurs (certaines mouches/blancs).
  8. Plus grande demande sur les marchés secs.
  9. Utilisation optimisée du paillage.
  10. Rentabilité accrue pour les maraîchers.

Q3 : Quels bénéfices du niébé pour le sol ?

R :

  1. Fixation d’azote atmosphérique via rhizobium.
  2. Amélioration du taux de matière organique.
  3. Enrichissement en phosphore organique.
  4. Améliore la fertilité des sols sableux.
  5. Limite l’érosion par couverture végétale.
  6. Stimule la microfaune bénéfique.
  7. Résidus utilisables en fourrage.
  8. Couvre-sol protecteur en saison humide.
  9. Diminution de la compaction.
  10. Améliore rendement des cultures suivantes.

Q4 : Comment le niébé aide-t-il à briser le cycle de la fusariose ?

R :

  1. Fusarium vit dans le sol plusieurs années.
  2. Le niébé n’est pas hôte principal du fusarium de tomate.
  3. Son introduction réduit la charge pathogène.
  4. Diversifie les micro-organismes concurrents.
  5. Réduit la monoculture de sol fatigué.
  6. Améliore équilibre microbien du sol.
  7. Enfouissement des résidus de niébé stimule antagonistes naturels.
  8. Abaisse le risque d’épidémie à la reprise de la tomate.
  9. Favorise meilleure reprise racinaire.
  10. Retarde le retour de la fusariose dans le champ.

Q5 : Combien de cycles attendre avant de replanter la tomate ?

R :

  1. Minimum 2 cycles d’autres cultures (ex. niébé, maïs, sorgho).
  2. Soit 1–2 années selon zone tropicale.
  3. Permet d’épuiser inoculum pathogène.
  4. Diminue pression nématodes.
  5. Sol retrouve équilibre nutritif.
  6. Réduit besoins en traitements.
  7. Meilleur rendement de la tomate au retour.
  8. Réduction mortalité jeunes plants.
  9. Moins de pertes post-récolte.
  10. Système durable sur long terme.

Q6 : Quels autres légumes intégrer dans la rotation tomate – niébé ?

R :

  1. Maïs (céréale peu exigeante en N).
  2. Sorgho (résistant sécheresse).
  3. Patate douce (tubercule).
  4. Igname.
  5. Manioc.
  6. Légumes feuilles (brèdes, épinards locaux).
  7. Chou.
  8. Piment.
  9. Arachide.
  10. Crotalaria comme engrais vert.

Q7 : Quels risques si on replante la tomate trop tôt ?

R :

  1. Forte incidence fusariose.
  2. Développement verticilliose.
  3. Multiplication nématodes.
  4. Rendement fortement réduit.
  5. Besoin accru en fongicides.
  6. Augmentation des coûts de production.
  7. Risque perte totale parcelle.
  8. Stress hydrique aggravé.
  9. Déstructuration sol par maladies.
  10. Marché non rentable à cause pertes.

Q8 : Quelle densité de semis pour le niébé en rotation ?

R :

  1. 40–50 kg/ha de semences.
  2. Espacement 50 × 20 cm.
  3. 100 000–120 000 plants/ha.
  4. Semer en lignes parallèles.
  5. Profondeur semis : 3–5 cm.
  6. Adapter selon variété.
  7. Semer après pluie initiale.
  8. Pailler pour limiter évaporation.
  9. Incorporer résidus après récolte.
  10. Observer germination homogène.

Q9 : Quels bénéfices économiques d’une rotation tomate – niébé ?

R :

  1. Moins de dépenses engrais.
  2. Moins de dépenses pesticides.
  3. Rendement tomate plus élevé.
  4. Production de niébé vendable.
  5. Autoconsommation de niébé.
  6. Diversification revenus.
  7. Sol plus productif = plus de cycles rentables.
  8. Réduction des pertes.
  9. Valeur ajoutée au marché bio/éthique.
  10. Sécurisation revenu familial.

Q10 : Comment organiser le calendrier d’une rotation tomate – niébé ?

R :

  1. Saison sèche : tomate.
  2. Après récolte : laisser sol reposer 2–3 semaines.
  3. Début saison humide : niébé.
  4. Récolte niébé après 3 mois.
  5. Incorporation résidus.
  6. Possibilité enchaîner avec maïs.
  7. Ou culture de couverture (mucuna).
  8. Revenir tomate après 2 cycles complets.
  9. Ajuster selon pluviométrie régionale.
  10. Tenir registre annuel pour planifier.

5. Rotation manioc – arachide

5. Rotation manioc – arachide

FR :

  • Manioc → Arachide (3–4 mois).
  • Arachide enrichit sol.
  • Manioc profite de sol ameubli.

MG :

  • Mangahazo → Voanjo.
  • Voanjo manatsara tany.
  • Mangahazo mahazo tombony amin’ny tany malemy.

📘 Sous-sujet : Rotation manioc – arachide

Q1 : Pourquoi introduire l’arachide après le manioc ?

R :

  1. L’arachide se cultive rapidement (3–4 mois).
  2. Elle valorise le sol déjà ameubli par le manioc.
  3. Elle fixe l’azote atmosphérique via rhizobium.
  4. Elle améliore la fertilité du sol.
  5. Elle réduit les adventices par couverture rapide.
  6. Elle offre un revenu rapide après une culture longue.
  7. Elle diversifie l’alimentation paysanne.
  8. Elle laisse des résidus utilisables en fourrage.
  9. Elle facilite la rotation suivante (maïs, sorgho).
  10. Elle réduit les risques de maladies liées au manioc.

Q2 : Quels bénéfices agronomiques de l’arachide dans la rotation ?

R :

  1. Fixe 60–120 kg/ha d’azote par cycle.
  2. Augmente la matière organique.
  3. Améliore structure et porosité.
  4. Stimule microfaune du sol.
  5. Décompacte le sol par son enracinement.
  6. Augmente la disponibilité du phosphore.
  7. Réduit érosion par couverture végétale.
  8. Réduit besoins engrais azotés cultures suivantes.
  9. Favorise une meilleure germination future.
  10. Rend le sol plus stable à long terme.

Q3 : Pourquoi le manioc profite-t-il d’un sol ameubli ?

R :

  1. Le manioc a des racines tubéreuses volumineuses.
  2. Sol meuble = meilleure expansion tubercules.
  3. Moins de déformations des racines.
  4. Racines plus longues et plus profondes.
  5. Moins d’asphyxie racinaire.
  6. Meilleure disponibilité en eau.
  7. Plus grande absorption des nutriments.
  8. Croissance plus rapide en phase initiale.
  9. Réduction maladies racinaires.
  10. Rendement tubercules amélioré.

Q4 : Quel calendrier cultural adopter manioc → arachide ?

R :

  1. Planter manioc au début saison des pluies.
  2. Récolte manioc après 10–12 mois.
  3. Préparer sol ameubli.
  4. Semer arachide en début saison suivante.
  5. Cycle arachide : 3–4 mois.
  6. Récolte arachide avant saison sèche intense.
  7. Incorporer résidus dans sol.
  8. Enchaîner avec céréale (maïs).
  9. Reprendre manioc ou autre tubercule.
  10. Planifier sur 2–3 ans.

Q5 : Quels risques si on néglige la rotation manioc–arachide ?

R :

  1. Appauvrissement progressif du sol.
  2. Augmentation adventices.
  3. Baisse fertilité organique.
  4. Développement maladies racinaires.
  5. Multiplication nématodes.
  6. Rendement manioc en baisse.
  7. Besoin plus fort en engrais chimiques.
  8. Diminution biodiversité microbienne.
  9. Plus grande sensibilité à la sécheresse.
  10. Instabilité économique pour paysan.

Q6 : Quelle densité de semis pour l’arachide après manioc ?

R :

  1. 3–4 graines par poquet.
  2. Espacement 40 × 20 cm.
  3. 120 000–150 000 pieds/ha.
  4. 80–100 kg de semences/ha.
  5. Semer à 3–5 cm de profondeur.
  6. Utiliser variétés locales adaptées.
  7. Semer juste après pluie initiale.
  8. Adapter densité selon sol sableux/argileux.
  9. Semer en lignes pour faciliter sarclage.
  10. Couvrir semences pour protéger oiseaux.

Q7 : Quels bénéfices économiques de cette rotation ?

R :

  1. Manioc = récolte principale longue.
  2. Arachide = revenu rapide en 3–4 mois.
  3. Diversification sources de revenu.
  4. Vente d’arachide frais ou sec.
  5. Transformation en huile.
  6. Autoconsommation riche en protéines.
  7. Résidus arachide vendus comme fourrage.
  8. Moins de dépenses engrais (azote).
  9. Meilleur rendement manioc suivant.
  10. Sécurisation revenus agricoles.

Q8 : Quels soins particuliers pour l’arachide en rotation ?

R :

  1. Sarclage précoce contre adventices.
  2. Irrigation si sécheresse prolongée.
  3. Paillage entre lignes.
  4. Surveillance termites.
  5. Apport phosphore (20–30 kg P/ha).
  6. Pas d’excès d’azote (inutile).
  7. Récolte au bon stade (gousses pleines).
  8. Séchage gousses au soleil.
  9. Stockage sec, aéré.
  10. Conservation avec protection anti-insectes.

Q9 : Quels bénéfices nutritionnels et sociaux du couple manioc–arachide ?

R :

  1. Manioc apporte énergie (glucides).
  2. Arachide apporte protéines.
  3. Complément alimentaire équilibré.
  4. Prévention malnutrition zones rurales.
  5. Diversité culinaire (farines, sauces, beignets).
  6. Source huile locale.
  7. Fourrage pour animaux.
  8. Favorise autonomie paysanne.
  9. Partage dans réseaux communautaires.
  10. Valorisation savoir-faire local.

Q10 : Comment intégrer cette rotation dans un système agroécologique ?

R :

  1. Associer manioc avec engrais verts (crotalaria).
  2. Introduire arachide après récolte manioc.
  3. Incorporer résidus dans le sol.
  4. Réduire usage engrais chimiques.
  5. Utiliser paillage permanent.
  6. Compléter par rotations maïs, sorgho.
  7. Inclure cultures maraîchères entre cycles.
  8. Tenir carnet de champ.
  9. Adapter selon pluviométrie locale.
  10. Viser durabilité sur 5–10 ans.

6. Association maïs – haricot

6. Association maïs – haricot

FR :

  • Maïs tuteur.
  • Haricot grimpe (fixe azote).
  • Densité : 40 000 pieds/ha maïs.
  • Semer haricot 15 j après maïs.

MG :

  • Katsaka mitondra haricot.
  • Haricot manampy azota.
  • Hakitroka : 40 000 katsaka/ha.
  • Haricot 15 andro aorian’ny katsaka.

📘 Sous-sujet : Association maïs – haricot

Q1 : Pourquoi associer le maïs et le haricot ?

R :

  1. Le maïs sert de tuteur naturel au haricot grimpant.
  2. Le haricot fixe l’azote atmosphérique grâce aux nodules racinaires.
  3. Association complémentaire : céréale gourmande + légumineuse enrichissante.
  4. Réduction des adventices grâce à l’occupation du sol.
  5. Amélioration de la biodiversité de la parcelle.
  6. Réduction de l’usage d’engrais azotés.
  7. Système durable et traditionnel dans plusieurs pays tropicaux.
  8. Résilience accrue face aux variations climatiques.
  9. Valorisation optimale de l’espace et du temps cultural.
  10. Production simultanée de glucides (maïs) et protéines (haricot).

Q2 : Pourquoi semer le haricot 15 jours après le maïs ?

R :

  1. Le maïs doit être assez fort pour servir de tuteur.
  2. Évite que le haricot étouffe le jeune maïs.
  3. Réduit la compétition précoce pour la lumière.
  4. Réduit la compétition pour l’eau et les nutriments.
  5. Permet au maïs de bien s’ancrer avant l’arrivée du haricot.
  6. Le haricot profite d’un microclimat ombragé par le maïs.
  7. Synchronise les cycles pour une récolte complémentaire.
  8. Favorise un enracinement équilibré.
  9. Réduit le risque de verse du maïs.
  10. Augmente la productivité du système associé.

Q3 : Quelle densité de semis respecter pour le maïs ?

R :

  1. 40 000 pieds/ha en moyenne.
  2. Espacement 75 cm entre lignes.
  3. 25–30 cm entre poquets.
  4. 2 graines/poquet.
  5. Semis à 3–5 cm profondeur.
  6. Adapter densité selon variété (locales vs hybrides).
  7. Réduire densité si sol pauvre.
  8. Augmenter si sol riche et irrigué.
  9. Assurer homogénéité de levée.
  10. Paillage conseillé pour conserver humidité.

Q4 : Quelle densité et méthode de semis pour le haricot ?

R :

  1. 1–2 graines à côté de chaque plant de maïs.
  2. Espacement 20–30 cm.
  3. Profondeur 2–4 cm.
  4. Semer 15 j après maïs.
  5. Variétés grimpantes adaptées.
  6. Dose : 20–30 kg/ha de semences.
  7. Inoculation rhizobium si possible.
  8. Pailler après semis.
  9. Irriguer en cas de sécheresse.
  10. Observer bonne germination (>80 %).

Q5 : Quels bénéfices agronomiques de cette association ?

R :

  1. Fixation azote par haricot = fertilisation gratuite.
  2. Meilleur rendement global par hectare.
  3. Diversification alimentaire.
  4. Réduction adventices.
  5. Amélioration structure sol.
  6. Moins de maladies grâce biodiversité.
  7. Meilleure couverture sol.
  8. Production paille maïs + résidus haricot = paillage/fourrage.
  9. Moins de risques économiques.
  10. Système éprouvé par l’agriculture paysanne.

Q6 : Quels risques si le haricot est semé trop tôt ?

R :

  1. Haricot étouffe le maïs.
  2. Compétition précoce lumière.
  3. Compétition eau.
  4. Compétition nutriments.
  5. Maïs pousse chétif.
  6. Rendement global réduit.
  7. Haricot mal soutenu (tuteur trop faible).
  8. Risque verse maïs.
  9. Difficile de sarcler correctement.
  10. Perte économique.

Q7 : Quels risques si le haricot est semé trop tard ?

R :

  1. Haricot ne profite pas du tuteur.
  2. Croissance réduite.
  3. Moins de fixation azote.
  4. Moins de couverture du sol.
  5. Exposition adventices.
  6. Moins de biomasse résiduelle.
  7. Calendrier récolte désynchronisé.
  8. Production globale moindre.
  9. Moindre complémentarité alimentaire.
  10. Rendement du système baisse.

Q8 : Quels soins culturaux nécessaires dans ce système ?

R :

  1. Sarclage précoce contre adventices.
  2. Paillage pour humidité.
  3. Irrigation si sécheresse.
  4. Apport compost au semis maïs.
  5. Surveillance ravageurs (chenilles, pucerons).
  6. Palissage léger si maïs faible.
  7. Surveillance maladies (rouilles haricot).
  8. Récolte échelonnée du haricot.
  9. Récolte maïs à maturité physiologique.
  10. Tenir carnet de champ.

Q9 : Quels bénéfices nutritionnels et économiques ?

R :

  1. Maïs = glucides (énergie).
  2. Haricot = protéines (complément nutritionnel).
  3. Équilibre alimentaire pour familles rurales.
  4. Moins besoin d’acheter engrais azotés.
  5. Moins besoin d’acheter protéines animales.
  6. Diversification revenus (vente double).
  7. Autoconsommation améliorée.
  8. Valorisation marchés locaux.
  9. Sécurité alimentaire renforcée.
  10. Système rentable et résilient.

Q10 : Comment intégrer maïs–haricot dans une rotation plus large ?

R :

  1. Avant une culture gourmande (tomate).
  2. Après manioc (sol ameubli).
  3. Introduire arachide après.
  4. Alterner avec sorgho/mil.
  5. Associer engrais verts (mucuna).
  6. Pailler après récolte.
  7. Enchaîner avec patate douce.
  8. Intégrer dans rotation sur 3 ans.
  9. Réduire maladies sol (fusarium).
  10. Optimiser sol sur long terme.

7. Association manioc – niébé

7. Association manioc – niébé

FR :

  • Manioc (ligne espacée 1,2 m).
  • Niébé entre les lignes.
  • Réduit adventices.
  • Améliore fertilité.

MG :

  • Mangahazo 1,2 m.
  • Voanemba eo anelanelany.
  • Mihena ahi-dratsy.
  • Mihatsara ny tany.

📘 Sous-sujet : Association manioc – niébé

Q1 : Pourquoi associer le manioc et le niébé ?

R :

  1. Le manioc occupe le sol longtemps (10–12 mois).
  2. Le niébé se développe rapidement (3–4 mois).
  3. Le niébé fixe l’azote atmosphérique.
  4. Les deux cultures n’entrent pas en compétition directe.
  5. Le niébé couvre le sol et limite les adventices.
  6. Le manioc profite du sol enrichi.
  7. Les résidus du niébé servent de paillage.
  8. L’association diversifie les récoltes.
  9. Les deux produits répondent à une forte demande locale.
  10. Le système améliore la résilience alimentaire.

Q2 : Quelle disposition adopter pour planter le manioc et le niébé ?

R :

  1. Manioc en lignes espacées de 1,20 m.
  2. Niébé semé entre les lignes.
  3. Semis en poquets de 2–3 graines.
  4. Espacement du niébé : 20–30 cm.
  5. Profondeur semis 3–5 cm.
  6. Semer niébé après une pluie.
  7. Aligner les lignes de niébé parallèles au manioc.
  8. Maintenir un désherbage minimal avant levée.
  9. Utiliser variétés locales de niébé.
  10. Associer paillage organique entre rangs.

Q3 : Quels bénéfices pour le manioc ?

R :

  1. Sol enrichi en azote.
  2. Développement plus vigoureux.
  3. Meilleure formation des tubercules.
  4. Réduction maladies racinaires.
  5. Sol ameubli par racines du niébé.
  6. Plus grande tolérance à la sécheresse.
  7. Rendement plus élevé (jusqu’à +15 %).
  8. Réduction besoins en engrais chimiques.
  9. Moins de compétition avec adventices.
  10. Meilleure qualité des racines (plus régulières).

Q4 : Quels bénéfices pour le niébé ?

R :

  1. Profite de l’espace entre les rangs du manioc.
  2. Accès au soleil entre jeunes plants.
  3. Croissance rapide en 3–4 mois.
  4. Utilisation résiduelle de l’humidité du sol.
  5. Sol déjà travaillé lors de plantation du manioc.
  6. Moins de compétition initiale.
  7. Récolte avant que le manioc n’ombrage trop.
  8. Fournit un revenu rapide.
  9. Résidus recyclés pour fertiliser.
  10. Utilisation des tiges comme paillage.

Q5 : Comment l’association réduit-elle les adventices ?

R :

  1. Niébé couvre rapidement le sol.
  2. Moins de lumière atteint le sol nu.
  3. Germination des herbes réduite.
  4. Paillage complémentaire bloque adventices.
  5. Moins besoin de sarclages manuels.
  6. Réduction usage herbicides.
  7. Croissance plus régulière des cultures.
  8. Plus d’eau disponible pour les plantes utiles.
  9. Meilleur rendement global.
  10. Limite prolifération de plantes envahissantes.

Q6 : Comment l’association améliore-t-elle la fertilité ?

R :

  1. Niébé fixe l’azote atmosphérique.
  2. Résidus enfouis enrichissent matière organique.
  3. Décomposition rapide en climat tropical.
  4. Stimule microfaune bénéfique.
  5. Améliore structure sol.
  6. Augmente capacité rétention eau.
  7. Améliore disponibilité phosphore.
  8. Réduit lessivage nutriments.
  9. Sol plus fertile pour cultures suivantes.
  10. Contribue à la durabilité du système agricole.

Q7 : Quels soins culturaux spécifiques dans ce système ?

R :

  1. Sarclage précoce avant installation du niébé.
  2. Paillage léger au pied du manioc.
  3. Irrigation en cas de sécheresse.
  4. Surveillance des termites sur niébé.
  5. Apport compost au semis du manioc.
  6. Association avec engrais verts après récolte.
  7. Surveillance maladies foliaires niébé.
  8. Récolte du niébé au bon stade.
  9. Incorporation des résidus au sol.
  10. Rotation après 1–2 cycles.

Q8 : Quels bénéfices économiques de l’association ?

R :

  1. Manioc = culture de base énergétique.
  2. Niébé = légumineuse riche en protéines.
  3. Revenus diversifiés.
  4. Vente niébé frais ou sec.
  5. Autoconsommation protéique.
  6. Fourrage résiduel pour animaux.
  7. Réduction coût engrais.
  8. Sécurisation revenus paysans.
  9. Intérêt accru pour marchés locaux/urbains.
  10. Valorisation agroécologique auprès ONG/projets.

Q9 : Quels risques si le calendrier est mal géré ?

R :

  1. Si niébé semé trop tard → ombrage du manioc.
  2. Réduction rendement niébé.
  3. Moins d’azote fixé.
  4. Moins de couverture du sol.
  5. Plus d’adventices.
  6. Mauvaise synchronisation récoltes.
  7. Conflits main-d’œuvre.
  8. Baisse rentabilité.
  9. Difficultés organisationnelles.
  10. Instabilité du système.

Q10 : Comment intégrer manioc–niébé dans une rotation plus large ?

R :

  1. Suivi par une céréale (maïs, sorgho).
  2. Ensuite introduire une culture maraîchère (tomate).
  3. Associer engrais vert (mucuna).
  4. Alterner avec patate douce.
  5. Rotation sur 3–4 ans.
  6. Éviter retour manioc immédiat.
  7. Maintenir fertilité durable.
  8. Réduire maladies sol.
  9. Diversifier production agricole.
  10. Construire système agroécologique complet.

8. Culture patate douce tropicale

8. Culture patate douce tropicale

FR :

  • Boutures 20–30 cm.
  • Buttes espacées 80 cm.
  • Récolte 4–5 mois.
  • Paillage conseillé.

MG :

  • Zavamaniry 20–30 sm.
  • Tavoahangy 80 sm.
  • Fanangonana 4–5 volana.
  • Mulch tsara.


📘 Sous-sujet : Culture patate douce tropicale

Q1 : Comment choisir et préparer les boutures de patate douce ?

R :

  1. Sélectionner des tiges saines, exemptes de maladies.
  2. Longueur idéale : 20–30 cm.
  3. Couper sous un nœud pour favoriser l’enracinement.
  4. Retirer les feuilles de la base.
  5. Laisser sécher légèrement 1–2 h avant plantation.
  6. Prélever sur plants âgés de 2–3 mois.
  7. Utiliser variétés locales adaptées au climat.
  8. Éviter boutures ligneuses trop vieilles.
  9. Planter rapidement après coupe.
  10. Transporter les boutures à l’ombre.

Q2 : Comment planter les boutures correctement ?

R :

  1. Planter sur buttes ou billons.
  2. Incliner les boutures à 45°.
  3. Enterrer 2/3 de la bouture.
  4. Espacer les buttes de 80 cm.
  5. Espacement sur la ligne : 25–30 cm.
  6. Arroser immédiatement après plantation.
  7. Planter après une pluie pour humidité.
  8. Pailler après installation.
  9. Planter tôt le matin ou en fin d’après-midi.
  10. Éviter sols saturés d’eau.

Q3 : Quels sont les avantages de la culture sur buttes espacées 80 cm ?

R :

  1. Facilite le développement des tubercules.
  2. Améliore le drainage du sol.
  3. Réduit l’asphyxie racinaire.
  4. Favorise une récolte plus facile.
  5. Permet une meilleure aération.
  6. Diminue la pourriture des racines.
  7. Améliore la qualité des tubercules.
  8. Limite l’érosion en terrain humide.
  9. Optimise l’espacement pour la lumière.
  10. Rend les tubercules plus réguliers.

Q4 : Quelle est la durée de cycle de la patate douce tropicale ?

R :

  1. 4–5 mois en moyenne.
  2. Plus court pour variétés précoces (3,5 mois).
  3. Plus long (6 mois) pour variétés tardives.
  4. Dépend de la pluviométrie.
  5. Dépend de la fertilité du sol.
  6. Dépend de la variété cultivée.
  7. Dépend de l’irrigation.
  8. Récolte échelonnée possible.
  9. Indicateur : jaunissement feuilles.
  10. Récolter avant forte sécheresse.

Q5 : Quels sont les avantages du paillage pour la patate douce ?

R :

  1. Conserve l’humidité du sol.
  2. Réduit la germination d’adventices.
  3. Protège le sol contre la chaleur.
  4. Améliore la structure biologique.
  5. Diminue les besoins en arrosage.
  6. Réduit l’érosion.
  7. Protège tubercules de la lumière.
  8. Favorise un meilleur rendement.
  9. Réduit les maladies liées au stress hydrique.
  10. Utilise efficacement les résidus agricoles.

Q6 : Quels soins culturaux sont nécessaires pendant le cycle ?

R :

  1. Sarclage précoce les 30 premiers jours.
  2. Désherbage manuel si besoin.
  3. Paillage renforcé en saison sèche.
  4. Irrigation si manque de pluie.
  5. Buttage complémentaire si nécessaire.
  6. Surveillance des termites.
  7. Surveillance des charançons (Cylas sp.).
  8. Protection contre les porcs et chèvres.
  9. Apport compost en surface.
  10. Contrôle régulier de la parcelle.

Q7 : Quels sont les principaux ravageurs de la patate douce ?

R :

  1. Charançon de la patate douce (Cylas).
  2. Termites.
  3. Nématodes à galles.
  4. Chenilles défoliatrices.
  5. Criquets.
  6. Rongeurs.
  7. Pucerons.
  8. Fourmis.
  9. Tiques de sol en pépinière.
  10. Porcs en divagation.

Q8 : Comment protéger la patate douce contre les maladies ?

R :

  1. Utiliser boutures saines.
  2. Rotation culturale (3 ans).
  3. Paillage pour réduire éclaboussures.
  4. Espacement suffisant entre plants.
  5. Apport compost mûr.
  6. Éviter excès d’humidité.
  7. Variétés tolérantes.
  8. Désherbage régulier.
  9. Éliminer plants malades.
  10. Association avec légumineuses.

Q9 : Quels sont les avantages économiques de la culture ?

R :

  1. Cycle court (4–5 mois).
  2. Demande forte sur marchés locaux.
  3. Source d’amidon (transformation).
  4. Tubercules + feuilles consommables.
  5. Bonne conservation en frais.
  6. Transformation en farine.
  7. Valorisation export possible.
  8. Revenus réguliers pour petits producteurs.
  9. Production fourrage avec fanes.
  10. Sécurité alimentaire des ménages.

Q10 : Comment intégrer la patate douce dans une rotation agroécologique ?

R :

  1. Après une céréale (maïs, sorgho).
  2. Après légumineuses (niébé, arachide).
  3. Éviter retour patate douce avant 3 ans.
  4. Alterner avec manioc.
  5. Associer à engrais verts (mucuna).
  6. Introduire cultures maraîchères ensuite.
  7. Apporter compost régulier.
  8. Maintenir couverture végétale.
  9. Diversifier variétés.
  10. Planifier sur 3–4 ans pour durabilité.

9. Riz pluvial (upland)


9. Riz pluvial (upland)

FR :

  • Semis direct ou repiquage.
  • Densité : 80–100 kg/ha.
  • Désherbage précoce (30 j).
  • Rotation avec arachide.

MG :

  • Famafazana mivantana na famindrana.
  • 80–100 kg/ha.
  • Fanalana ahi-dratsy aloha.
  • Atambatra amin’ny voanjo.

📘 Sous-sujet : Riz pluvial (upland)

Q1 : Quelles sont les deux méthodes principales de mise en place du riz pluvial ?

R :

  1. Semis direct en ligne.
  2. Semis à la volée (moins conseillé).
  3. Repiquage manuel de jeunes plants.
  4. Repiquage en poquets espacés.
  5. Semis direct plus rapide mais moins homogène.
  6. Repiquage demande plus de main-d’œuvre.
  7. Semis direct mieux adapté sols sableux.
  8. Repiquage préféré en sols argileux.
  9. Choix selon disponibilité main-d’œuvre.
  10. Choix aussi selon variété locale (cycle court ou long).

MG :

  1. Famafazana mivantana amin’ny tsipika.
  2. Famafazana antsokosoko (tsy tsara loatra).
  3. Famindrana zana-ketsa tanora.
  4. Famindrana amin’ny lavaka efa voaomana.
  5. Famafazana mivantana haingana kokoa.
  6. Famindrana mitaky asa betsaka.
  7. Famafazana mivantana mety amin’ny tany fasika.
  8. Famindrana tsara kokoa amin’ny tany mavesatra.
  9. Misafidy araka ny mpiasa misy.
  10. Misafidy araka ny karazany (fohy na lava).

Q2 : Quelle est la densité de semis recommandée ?

R :

  1. 80–100 kg/ha de semences.
  2. Environ 200–250 grains/m².
  3. Espacement lignes : 25–30 cm.
  4. Espacement sur ligne : 10–15 cm.
  5. Semis trop dense = maladies.
  6. Semis trop clair = adventices.
  7. Ajuster selon fertilité du sol.
  8. Variétés à tallage fort = dose plus faible.
  9. Variétés à tallage faible = dose plus forte.
  10. Toujours semer après pluie initiale.

MG :

  1. 80–100 kg/ha voa.
  2. 200–250 voa/m².
  3. Elanelana 25–30 sm.
  4. Elanelana 10–15 sm.
  5. Raha matevina loatra = aretina.
  6. Raha vitsy loatra = ahi-dratsy.
  7. Azo ovaina araka ny tany.
  8. Karazany maniry betsaka = voa vitsy kokoa.
  9. Karazany tsy mitombo be = voa betsaka kokoa.
  10. Famafazana aorian’ny orana voalohany.

Q3 : Pourquoi le désherbage précoce est-il essentiel (30 j après semis) ?

R :

  1. Riz pluvial pousse lentement au début.
  2. Adventices très compétitives.
  3. Réduction de rendement jusqu’à 50 % si non désherbé.
  4. Désherbage à 30 j = stade critique.
  5. Permet tallage du riz sans concurrence.
  6. Moins d’ombre créée par herbes.
  7. Facilite irrigation complémentaire.
  8. Réduit maladies transmises par adventices.
  9. Limite repiquage manuel ultérieur.
  10. Améliore homogénéité champ.

MG :

  1. Ny vary main-tany mitombo miadana amin’ny voalohany.
  2. Ny ahi-dratsy mitombo haingana.
  3. Raha tsy esorina dia mety very 50 % vokatra.
  4. 30 andro = fotoana tena manan-danja.
  5. Manampy vary hivelatra tsy misy fifaninanana.
  6. Tsy misy aloka avy amin’ny ahi-dratsy.
  7. Mora kokoa ny fanondrahana.
  8. Mihena aretina avy amin’ny ahi-dratsy.
  9. Tsy mila famindrana fanampiny.
  10. Mitovy tsara kokoa ny fitomboana.

Q4 : Quels sont les avantages de la rotation riz pluvial – arachide ?

R :

  1. Arachide fixe l’azote atmosphérique.
  2. Améliore fertilité sol.
  3. Réduit maladies du riz.
  4. Brise cycle adventices.
  5. Diversifie revenus.
  6. Arachide couvre sol rapidement.
  7. Rendements riz améliorés au cycle suivant.
  8. Réduction engrais azotés.
  9. Résidus arachide utiles en fourrage.
  10. Système durable et économique.

MG :

  1. Voanjo manampy azota amin’ny tany.
  2. Manatsara ny tany.
  3. Mihena aretin’ny vary.
  4. Tapaka ny tsingerin’ny ahi-dratsy.
  5. Vola mivelatra kokoa.
  6. Voanjo manarona ny tany.
  7. Mitombo ny vokatra vary manaraka.
  8. Mihena ny filàna zezika.
  9. Azo atao sakafon’omby ny sisa tavela.
  10. Rafitra maharitra sy ara-toekarena.

Q5 : Quels types de sols conviennent au riz pluvial ?

R :

  1. Sols sableux-limoneux bien drainés.
  2. Sols fertiles riches en MO.
  3. Sols avec pH 5,5–7.
  4. Éviter sols hydromorphes.
  5. Éviter sols très acides (<5).
  6. Éviter sols trop alcalins (>8).
  7. Bonne réserve utile en eau.
  8. Sols plats ou pente douce.
  9. Sols profonds.
  10. Sols sans croûte de battance.

MG :

  1. Tany fasika-mavokely tsara mitroka rano.
  2. Tany manankarena amin’ny akora organika.
  3. pH 5,5–7.
  4. Tsy mety ny tany mando be.
  5. Tsy mety ny tany asidra loatra (<5).
  6. Tsy mety ny tany masira (>8).
  7. Mila mitahiry rano tsara.
  8. Tany fisaka na misy fiakarana kely.
  9. Tany lalina.
  10. Tany tsy manao sosona henjana.

Q6 : Quelles variétés locales sont adaptées ?

R :

  1. Variétés à cycle court (90–100 j).
  2. Variétés à cycle intermédiaire (110–120 j).
  3. Variétés tolérantes à la sécheresse.
  4. Variétés tolérantes à l’acidité.
  5. Variétés résistantes à la verse.
  6. Variétés adaptées aux sols pauvres.
  7. Variétés à bon tallage.
  8. Variétés rustiques (riz rouge local).
  9. Variétés améliorées (IRAT, NERICA upland).
  10. Choisir selon zone agroécologique.

MG :

  1. Karazany fohy (90–100 andro).
  2. Karazany antonony (110–120 andro).
  3. Maharitra amin’ny hain-tany.
  4. Maharitra amin’ny asidra.
  5. Tsy mora lavo.
  6. Mety amin’ny tany mahantra.
  7. Maniry sampana be.
  8. Karazany nentim-paharazana (vary mena).
  9. Karazany nohatsaraina (IRAT, NERICA).
  10. Safidio araka ny faritra.

Q7 : Quels sont les principaux ravageurs du riz pluvial ?

R :

  1. Chenilles légionnaires.
  2. Criquets.
  3. Souris et rats.
  4. Oiseaux granivores.
  5. Pucerons.
  6. Mineuses des feuilles.
  7. Termites en pépinière.
  8. Punaises suceuses.
  9. Sauteriaux.
  10. Sangliers en zones forestières.

MG :

  1. Lafika mpiady.
  2. Valala.
  3. Totozy sy voalavo.
  4. Vorona mpihinana voa.
  5. Voangory kely (pucerons).
  6. Bibikely mihady ravina.
  7. Fanenitra tany amin’ny ketsa.
  8. Bibikely mitsentsitra ranon-javamaniry.
  9. Sauteriaux.
  10. Lambo amin’ny ala.

Q8 : Quels sont les principaux désavantages du riz pluvial par rapport au riz irrigué ?

R :

  1. Dépendance forte aux pluies.
  2. Rendements plus bas (1–2,5 t/ha).
  3. Plus grande variabilité interannuelle.
  4. Plus de concurrence adventices.
  5. Plus de travail de désherbage.
  6. Sols souvent moins fertiles.
  7. Plus sensible à la sécheresse.
  8. Plus sensible aux oiseaux.
  9. Variétés locales parfois longues.
  10. Marché moins structuré.

MG :

  1. Miankina betsaka amin’ny orana.
  2. Vokatra ambany kokoa (1–2,5 t/ha).
  3. Miovaova isan-taona.
  4. Betsaka ny ahi-dratsy.
  5. Mila asa betsaka hanadiovana.
  6. Tany matetika mahantra.
  7. Mora tratry ny hain-tany.
  8. Mora tratry ny vorona.
  9. Karazany sasany lava loatra.
  10. Tsy misy tsena voaomana tsara.

Q9 : Quels avantages nutritionnels et économiques du riz pluvial ?

R :

  1. Source principale de glucides.
  2. Base alimentaire rurale.
  3. Complément aux cultures vivrières.
  4. Riz rouge = riche en minéraux.
  5. Riz blanc = demande forte en ville.
  6. Production familiale auto-consommée.
  7. Vente excédents au marché.
  8. Résidus pailles utilisés pour animaux.
  9. Diversification avec arachide.
  10. Sécurité alimentaire améliorée.

MG :

  1. Loha-panohanana sakafo.
  2. Fihinana fototra any ambanivohitra.
  3. Fanampin-tsakafo miaraka amin’ny voly hafa.
  4. Vary mena manankarena akora.
  5. Vary fotsy be mpividy any an-tanàna.
  6. Ampiasaina amin’ny fianakaviana.
  7. Azo amidy ny sisa.
  8. Ahitra maina azo omena biby.
  9. Fampiarahana amin’ny voanjo.
  10. Manampy amin’ny fiarovana ara-tsakafo.

Q10 : Comment intégrer le riz pluvial dans une rotation agroécologique ?

R :

  1. Riz pluvial → arachide.
  2. Riz pluvial → niébé.
  3. Riz pluvial → patate douce.
  4. Riz pluvial → maïs.
  5. Alterner avec engrais verts (mucuna).
  6. Éviter monoculture riz >2 ans.
  7. Tenir carnet de champ.
  8. Incorporer pailles comme mulch.
  9. Ajuster selon pluviométrie.
  10. Planifier sur 3–4 ans.

MG :

  1. Vary main-tany → voanjo.
  2. Vary main-tany → voanemba.
  3. Vary main-tany → ovy mamy.
  4. Vary main-tany → katsaka.
  5. Atambatra amin’ny legioma manarona tany.
  6. Aza manao vary main-tany mitohy mihoatra ny 2 taona.
  7. Manorata boky an-tsaha.
  8. Ampiasao ny mololo ho mulch.
  9. Arovy araka ny rotsakorana.
  10. Drafitra 3–4 taona.

10. Sorgho en zone sèche

10. Sorgho en zone sèche

FR :

  • Résistant sécheresse.
  • Semis en lignes 60–80 cm.
  • Apport compost 4–6 t/ha.
  • Récolte 4–6 mois.

MG :

  • Maharitra amin’ny hain-tany.
  • Famafazana 60–80 sm.
  • Komposta 4–6 t/ha.
  • Angonina 4–6 volana.

📘 Sous-sujet : Sorgho en zone sèche

Q1 : Pourquoi le sorgho est-il adapté aux zones sèches ?

FR :

  1. Tolère de longues périodes sans pluie.
  2. Système racinaire profond.
  3. Feuilles enroulées pour limiter transpiration.
  4. Moins exigeant en eau que le maïs.
  5. Bonne résistance aux fortes chaleurs.
  6. Capacité de dormance en cas de sécheresse.
  7. Variétés locales très rustiques.
  8. Peut repousser après une coupe.
  9. Rendement stable même en saison courte.
  10. Source fiable de grains en zone aride.

MG :

  1. Mahazaka tsy misy orana ela.
  2. Fakany lalina.
  3. Ravina miforitra hanamaivana fitetezam-pofona.
  4. Mila rano kely kokoa noho ny katsaka.
  5. Maharitra amin’ny hafanana avo.
  6. Afaka miato fitomboana raha maina.
  7. Karazany nentim-paharazana tena mafy.
  8. Afaka mitombo indray aorian’ny fanapahana.
  9. Vokatra tsy miova na dia fohy aza ny taom-pahavaratra.
  10. Loharanom-bary azo antoka any amin’ny faritra maina.

Q2 : Quelles sont les bonnes pratiques de semis du sorgho ?

FR :

  1. Semer en lignes espacées de 60–80 cm.
  2. Espacement sur ligne : 15–20 cm.
  3. Semer 3–4 graines par poquet.
  4. Profondeur semis : 3–5 cm.
  5. Dose semences : 6–8 kg/ha.
  6. Semer après premières pluies utiles.
  7. Préparer sol ameubli et nivelé.
  8. Utiliser compost comme engrais de fond.
  9. Semer tôt pour profiter humidité.
  10. Choisir variétés tolérantes sécheresse.

MG :

  1. Famafazana amin’ny tsipika 60–80 sm.
  2. Elanelana 15–20 sm.
  3. Voa 3–4 isaky ny lavaka.
  4. Halalin’ny famafazana : 3–5 sm.
  5. 6–8 kg/ha voa.
  6. Famafazana rehefa avy ny orana voalohany.
  7. Tany tokony ho malemy sy milamina.
  8. Komposta atao aloha.
  9. Famafazana aloha mba hisy hamandoana.
  10. Safidio ny karazany maharitra amin’ny hain-tany.

Q3 : Quel rôle joue l’apport de compost (4–6 t/ha) ?

FR :

  1. Améliore la structure du sol.
  2. Augmente la capacité de rétention d’eau.
  3. Fournit azote, phosphore et potassium.
  4. Stimule la microfaune bénéfique.
  5. Réduit l’acidité du sol.
  6. Augmente la fertilité à long terme.
  7. Favorise une levée homogène.
  8. Améliore la résistance aux stress.
  9. Augmente le rendement en grains.
  10. Réduit besoin en engrais chimiques.

MG :

  1. Manatsara firafitry ny tany.
  2. Manampy mitahiry rano.
  3. Manome azota, phosphore ary potasioma.
  4. Mandrisika mikraoba mahasoa.
  5. Mihena ny asidra amin’ny tany.
  6. Mitombo ny fahavokarana maharitra.
  7. Manatsara fitomboana mitovy.
  8. Mahery kokoa amin’ny hain-tany.
  9. Mitombo ny vokatra voa.
  10. Mihena ny filàna zezika simika.

Q4 : Quelle est la durée du cycle de production du sorgho ?

FR :

  1. 4–6 mois en moyenne.
  2. Varie selon la variété.
  3. Cycles courts (90–100 j).
  4. Cycles longs (120–150 j).
  5. Dépend de la pluviométrie.
  6. Dépend de la fertilité du sol.
  7. Récolte quand panicules sont brunes.
  8. Grains durs au toucher.
  9. Humidité grains < 14 %.
  10. Récolte manuelle ou mécanique.

MG :

  1. 4–6 volana.
  2. Miovaova araka ny karazany.
  3. Karazany fohy (90–100 andro).
  4. Karazany lava (120–150 andro).
  5. Miankina amin’ny orana.
  6. Miankina amin’ny tany.
  7. Angonina rehefa volontany ny voninkazo.
  8. Voamaina mafy rehefa tsapaina.
  9. Hamandoana < 14 %.
  10. Fanangonana amin’ny tanana na milina.

Q5 : Quels sont les principaux ravageurs du sorgho en zone sèche ?

FR :

  1. Oiseaux granivores (quélia).
  2. Criquets.
  3. Chenilles légionnaires.
  4. Mouches foreuses des tiges.
  5. Termites.
  6. Pucerons.
  7. Sauteriaux.
  8. Rongeurs.
  9. Vers blancs dans le sol.
  10. Sangliers en zone rurale.

MG :

  1. Vorona mpihinana voa (quélia).
  2. Valala.
  3. Lafika mpiady.
  4. Lalitra manimba taho.
  5. Fanenitra.
  6. Voangory kely (pucerons).
  7. Sauteriaux.
  8. Voalavo sy totozy.
  9. Lafika fotsy ao anaty tany.
  10. Lambo.

Q6 : Quels sont les principaux avantages nutritionnels et économiques du sorgho ?

FR :

  1. Source de glucides importante.
  2. Bonne teneur en fibres.
  3. Richesse en protéines végétales.
  4. Sans gluten.
  5. Utilisé pour farine, bouillies.
  6. Pailles pour fourrage.
  7. Culture adaptée aux zones marginales.
  8. Revenus supplémentaires pour paysans.
  9. Valorisation en bière locale.
  10. Sécurité alimentaire accrue.

MG :

  1. Loharanon-tsakafo manankarena glucides.
  2. Manankarena fibre.
  3. Manana protéine zavamaniry.
  4. Tsy misy gluten.
  5. Atao lafarinina sy koba.
  6. Mololo ho sakafon’omby.
  7. Mety amin’ny tany mahantra.
  8. Manampy vola ho an’ny tantsaha.
  9. Atao labiera nentim-paharazana.
  10. Manampy amin’ny fiarovana ara-tsakafo.

Q7 : Quelles associations culturales possibles avec le sorgho ?

FR :

  1. Sorgho + niébé.
  2. Sorgho + arachide.
  3. Sorgho + pois d’Angole.
  4. Sorgho + mucuna (engrais vert).
  5. Sorgho + manioc (rotation longue).
  6. Sorgho + courges rampantes.
  7. Sorgho + patate douce.
  8. Sorgho + légumes feuilles.
  9. Sorgho + coton (selon zone).
  10. Sorgho en rotation après riz pluvial.

MG :

  1. Katsaka mena + voanemba.
  2. Katsaka mena + voanjo.
  3. Katsaka mena + pois d’Angole.
  4. Katsaka mena + mucuna.
  5. Katsaka mena + mangahazo.
  6. Katsaka mena + voatavo.
  7. Katsaka mena + ovy mamy.
  8. Katsaka mena + anana.
  9. Katsaka mena + landihazo.
  10. Katsaka mena aorian’ny vary main-tany.

Q8 : Quels soins culturaux sont nécessaires ?

FR :

  1. Sarclage 2–3 fois au cycle.
  2. Paillage pour humidité.
  3. Irrigation d’appoint si possible.
  4. Apport compost 4–6 t/ha.
  5. Éclaircissage si levée dense.
  6. Surveillance oiseaux.
  7. Lutte contre pucerons (solutions bio).
  8. Surveillance mouches foreuses.
  9. Récolte au bon stade.
  10. Stockage en silos hermétiques.

MG :

  1. Fanadiovana tany in-2–3.
  2. Mulch mba hitahiry rano.
  3. Fanondrahana raha azo atao.
  4. Komposta 4–6 t/ha.
  5. Manala raha be loatra ny zavamaniry.
  6. Tandremo ny vorona.
  7. Fanafody voajanahary amin’ny voangory.
  8. Tandremo lalitra manimba taho.
  9. Angonina amin’ny fotoana mety.
  10. Tehirizo amin’ny silo mihidy.

Q9 : Quels sont les risques si le sorgho n’est pas bien conduit ?

FR :

  1. Rendement faible (<1 t/ha).
  2. Stress hydrique accentué.
  3. Attaques massives d’oiseaux.
  4. Développement adventices.
  5. Faible tallage.
  6. Panicule vide.
  7. Verse en cas de vent fort.
  8. Sensibilité accrue aux maladies.
  9. Perte économique.
  10. Insécurité alimentaire locale.

MG :

  1. Vokatra ambany (<1 t/ha).
  2. Hain-tany mahery vaika.
  3. Ataon’ny vorona fahavoazana.
  4. Ahi-dratsy be loatra.
  5. Tsy misy rantsana maro.
  6. Panicle tsy misy voa.
  7. Lavo amin’ny rivotra.
  8. Mora tratran’aretina.
  9. Fatiantoka ara-bola.
  10. Fahasahiranana ara-tsakafo.

Q10 : Comment intégrer le sorgho dans une rotation agroécologique ?

FR :

  1. Après arachide.
  2. Après niébé.
  3. Après mucuna.
  4. Avant patate douce.
  5. Avant manioc.
  6. En alternance avec riz pluvial.
  7. Associer à engrais verts.
  8. Plan rotation 3–4 ans.
  9. Paillage systématique après récolte.
  10. Diversification cultures pour durabilité.

MG :

  1. Aorian’ny voanjo.
  2. Aorian’ny voanemba.
  3. Aorian’ny mucuna.
  4. Alohan’ny ovy mamy.
  5. Alohan’ny mangahazo.
  6. Amin’ny fifandimbiasana amin’ny vary main-tany.
  7. Atambatra amin’ny legioma manarona tany.
  8. Drafitra 3–4 taona.
  9. Mulch aorian’ny fijinjana.
  10. Voly isan-karazany ho maharitra.

11. Arachide tropicale

11. Arachide tropicale

FR :

  • Semis poquets 3–4 graines, 40 cm.
  • Fertilisation légère (P, Ca).
  • Récolte 3–4 mois.

MG :

  • Voanjo : 3–4 voa isaky ny lavaka, 40 sm.
  • Mila Phosphore sy Calcium.
  • Angonina 3–4 volana.

📘 Sous-sujet : Arachide tropicale

Q1 : Comment semer correctement l’arachide ?

FR :

  1. Semer en poquets de 3–4 graines.
  2. Espacement 40 × 20 cm.
  3. Profondeur semis : 3–5 cm.
  4. Dose semences : 80–100 kg/ha.
  5. Utiliser semences saines, bien calibrées.
  6. Semer après pluie initiale.
  7. Semer sur sol ameubli et nivelé.
  8. Semis en lignes recommandé pour sarclage.
  9. Pailler légèrement après semis.
  10. Observer levée uniforme (7–10 j).

MG :

  1. Famafazana lavaka misy voa 3–4.
  2. Elanelana 40 × 20 sm.
  3. Halalin’ny famafazana : 3–5 sm.
  4. 80–100 kg/ha voa.
  5. Voa salama sy mitovy habeny.
  6. Famafazana aorian’ny orana voalohany.
  7. Tany malemy sy milamina.
  8. Tsipika ho mora diovina.
  9. Mulch kely aorian’ny famafazana.
  10. Mivoaka ao anatin’ny 7–10 andro.

Q2 : Quels sont les besoins nutritifs de l’arachide ?

FR :

  1. Faible besoin en azote (fixe l’azote).
  2. Besoin important en phosphore (P).
  3. Besoin important en calcium (Ca).
  4. Potassium (K) améliore rendement.
  5. Magnésium utile pour photosynthèse.
  6. Soufre pour la synthèse protéique.
  7. Oligo-éléments (Bore, Zinc).
  8. Compost améliore efficacité engrais.
  9. Éviter excès azote (inutile).
  10. Besoin équilibré pour bonne formation gousses.

MG :

  1. Tsy mila azota be (manamboatra azota).
  2. Mila Phosphore betsaka.
  3. Mila Calcium betsaka.
  4. Potasioma manampy vokatra.
  5. Magnésium ilaina amin’ny fotosintazy.
  6. Solifara ilaina amin’ny protéine.
  7. Oligoéléments (Bore, Zinc).
  8. Komposta manatsara zezika.
  9. Aza manampy azota be loatra.
  10. Mila fifandanjana ho an’ny voa tsara.

Q3 : Quelle est la durée du cycle cultural ?

FR :

  1. 3–4 mois pour variétés précoces.
  2. Jusqu’à 5 mois pour variétés tardives.
  3. Dépend de la pluviométrie.
  4. Dépend de la fertilité du sol.
  5. Cycle court adapté zones sèches.
  6. Cycle long adapté zones humides.
  7. Récolte au jaunissement feuilles.
  8. Récolte quand gousses bien formées.
  9. Observer maturité graines.
  10. Éviter récolte trop tardive (pertes).

MG :

  1. 3–4 volana ho an’ny karazany fohy.
  2. Hatramin’ny 5 volana ho an’ny lava.
  3. Miankina amin’ny orana.
  4. Miankina amin’ny tany.
  5. Fohy = mety amin’ny hain-tany.
  6. Lava = mety amin’ny faritra mando.
  7. Angonina rehefa mavo ravina.
  8. Angonina rehefa feno ny voanjo.
  9. Jereo ny fahamasahan’ny voa.
  10. Aza tara loatra (very vokatra).

Q4 : Quels soins culturaux sont nécessaires ?

FR :

  1. Sarclage précoce (20–30 j).
  2. Sarclage complémentaire (45 j).
  3. Paillage pour réduire adventices.
  4. Irrigation si sécheresse prolongée.
  5. Apport phosphore au semis.
  6. Éviter excès azote.
  7. Surveillance termites.
  8. Protection contre rongeurs.
  9. Rotation culturale régulière.
  10. Incorporer résidus après récolte.

MG :

  1. Fanadiovana aloha (20–30 andro).
  2. Fanadiovana fanampiny (45 andro).
  3. Mulch hanakanana ahi-dratsy.
  4. Fanondrahana raha maina.
  5. Phosphore amin’ny famafazana.
  6. Aza manampy azota be.
  7. Tandremo fanenitra.
  8. Fiarovana amin’ny voalavo.
  9. Fifandimbiasana voly.
  10. Ampidiro ao anaty tany ny sisa tavela.

Q5 : Quels sont les principaux ravageurs de l’arachide ?

FR :

  1. Termites.
  2. Chenilles défoliatrices.
  3. Charançons des gousses.
  4. Pucerons.
  5. Criquets.
  6. Fourmis.
  7. Oiseaux granivores.
  8. Rongeurs.
  9. Nématodes.
  10. Insectes du stockage (bruche).

MG :

  1. Fanenitra.
  2. Lafika mpihinana ravina.
  3. Bibikely manimba voanjo.
  4. Voangory kely (pucerons).
  5. Valala.
  6. Vitsika.
  7. Vorona mpihinana voa.
  8. Voalavo.
  9. Nematoda.
  10. Bibikely anaty trano fitahirizana.

Q6 : Quelles maladies affectent l’arachide ?

FR :

  1. Rouille de l’arachide.
  2. Cercosporiose.
  3. Pourriture des gousses.
  4. Fusariose.
  5. Oïdium.
  6. Anthracnose.
  7. Virus de la rosette.
  8. Jaunissement foliaire.
  9. Maladies racinaires.
  10. Moisissures au stockage.

MG :

  1. Harafesina voanjo.
  2. Cercosporiose.
  3. Fahasimban’ny voa.
  4. Fusariose.
  5. Oidium.
  6. Anthracnose.
  7. Virozy rosette.
  8. Ravina mihafotsy.
  9. Aretin’ny faka.
  10. Bobongolo amin’ny fitahirizana.

Q7 : Quels sont les avantages nutritionnels de l’arachide ?

FR :

  1. Riche en protéines (25 %).
  2. Source de lipides (huile).
  3. Glucides énergétiques.
  4. Minéraux (Mg, P, Zn).
  5. Vitamines B.
  6. Bonne digestibilité.
  7. Complément aux céréales.
  8. Aliment de base en sauces.
  9. Consommé frais, grillé, transformé.
  10. Prévention malnutrition.

MG :

  1. Manankarena protéine (25 %).
  2. Loharanon-dronono (menaka).
  3. Glucides manome hery.
  4. Mineraly (Mg, P, Zn).
  5. Vitamina B.
  6. Mora levona.
  7. Fanampiny amin’ny katsaka sy vary.
  8. Sakafo fototra amin’ny saosy.
  9. Azo hanina manta, endasina, na novaina.
  10. Manampy amin’ny ady amin’ny tsy fanjarian-tsakafo.

Q8 : Quels sont les usages économiques de l’arachide ?

FR :

  1. Vente de graines fraîches.
  2. Vente de graines sèches.
  3. Transformation en huile.
  4. Fabrication pâte d’arachide.
  5. Résidus tourteaux = fourrage.
  6. Exportation vers marchés régionaux.
  7. Vente locale en marchés hebdomadaires.
  8. Valorisation dans filière bio.
  9. Produit à forte demande urbaine.
  10. Source de revenus pour petits producteurs.

MG :

  1. Varotra voa manta.
  2. Varotra voa maina.
  3. Atao menaka.
  4. Atao dibera voanjo.
  5. Sisa = sakafon’omby.
  6. Aondrana any amin’ny tsena manodidina.
  7. Varotra eny amin’ny tsena isan-kerinandro.
  8. Ampiasaina amin’ny bio.
  9. Tena be mpividy any an-tanàna.
  10. Vola ho an’ny tantsaha madinika.

Q9 : Quels sont les avantages agronomiques de l’arachide en rotation ?

FR :

  1. Fixe l’azote atmosphérique.
  2. Améliore fertilité sol.
  3. Réduit besoins engrais azotés.
  4. Brise cycles maladies du sol.
  5. Améliore structure par ses racines.
  6. Protège sol par couverture rapide.
  7. Valorise sols sableux.
  8. Prépare terrain pour céréales.
  9. Fournit résidus organiques.
  10. S’intègre en agroécologie.

MG :

  1. Manamboatra azota.
  2. Manatsara ny tany.
  3. Mihena ny filàna zezika azota.
  4. Tapaka ny tsingerin’aretina.
  5. Manatsara firafitry ny tany.
  6. Manarona ny tany haingana.
  7. Mety amin’ny tany fasika.
  8. Manomana tany ho an’ny katsaka.
  9. Manome sisa organika.
  10. Tafiditra amin’ny agroécologie.

Q10 : Comment intégrer l’arachide dans une rotation agroécologique ?

FR :

  1. Après maïs.
  2. Après sorgho.
  3. Après riz pluvial.
  4. Avant manioc.
  5. Avant patate douce.
  6. En alternance avec niébé.
  7. Introduire engrais verts (crotalaria).
  8. Rotation sur 3–4 ans.
  9. Pailler après récolte.
  10. Associer compost annuel.

MG :

  1. Aorian’ny katsaka.
  2. Aorian’ny sorgho.
  3. Aorian’ny vary main-tany.
  4. Alohan’ny mangahazo.
  5. Alohan’ny ovy mamy.
  6. Amin’ny fifandimbiasana amin’ny voanemba.
  7. Atambatra amin’ny legioma manarona tany.
  8. Drafitra 3–4 taona.
  9. Mulch aorian’ny fijinjana.
  10. Komposta isan-taona.

12. Soja tropical

12. Soja tropical

FR :

  • Semis direct, 40 x 10 cm.
  • Fixation azote (inoculation rhizobium si possible).
  • Récolte 3–4 mois.

MG :

  • Voan-tsôja 40 x 10 sm.
  • Mila inoculation.
  • Angonina 3–4 volana.

📘 Sous-sujet : Soja tropical

Q1 : Comment semer correctement le soja en zone tropicale ?

FR :

  1. Semis direct en lignes.
  2. Espacement 40 × 10 cm.
  3. Profondeur semis 3–5 cm.
  4. 3–4 graines par poquet.
  5. Dose : 60–80 kg/ha de semences.
  6. Utiliser semences certifiées.
  7. Semer après une pluie utile.
  8. Préparer sol bien émietté.
  9. Semis mécanisé possible en grandes surfaces.
  10. Couvrir graines pour éviter oiseaux.

MG :

  1. Famafazana mivantana amin’ny tsipika.
  2. Elanelana 40 × 10 sm.
  3. Halalin’ny famafazana 3–5 sm.
  4. Voa 3–4 isaky ny lavaka.
  5. 60–80 kg/ha voa.
  6. Voa voamarina tsara.
  7. Famafazana aorian’ny orana.
  8. Tany malemy sy voaendy tsara.
  9. Azo atao amin’ny milina amin’ny velarana lehibe.
  10. Sarony mba tsy hohanin’ny vorona.

Q2 : Pourquoi inoculer le soja avec du rhizobium ?

FR :

  1. Favorise la nodulation racinaire.
  2. Fixe plus d’azote atmosphérique.
  3. Réduit besoin engrais azotés.
  4. Améliore croissance des plantes.
  5. Augmente rendement en grains.
  6. Rend le sol plus fertile.
  7. Avantage pour cultures suivantes.
  8. Stimule la microfaune.
  9. Efficace surtout sols pauvres.
  10. Pratique clé en agroécologie.

MG :

  1. Manampy fananganana nodula amin’ny faka.
  2. Manamboatra azota avy amin’ny rivotra.
  3. Mihena ny filàna zezika azota.
  4. Mitombo ny fitomboan’ny zavamaniry.
  5. Mitombo ny vokatra voa.
  6. Tany lasa manankarena kokoa.
  7. Manampy ny voly manaraka.
  8. Mandrisika mikraoba mahasoa.
  9. Mety indrindra amin’ny tany mahantra.
  10. Zava-dehibe amin’ny agroécologie.

Q3 : Quelle est la durée du cycle cultural du soja ?

FR :

  1. 3–4 mois en moyenne.
  2. Variétés précoces : 90 jours.
  3. Variétés tardives : 120 jours.
  4. Dépend de la pluviométrie.
  5. Dépend de la fertilité du sol.
  6. Dépend de la variété.
  7. Récolte quand gousses brunes.
  8. Graines dures et sèches.
  9. Humidité grains < 14 %.
  10. Récolte manuelle ou mécanique.

MG :

  1. 3–4 volana.
  2. Karazany fohy : 90 andro.
  3. Karazany lava : 120 andro.
  4. Miankina amin’ny orana.
  5. Miankina amin’ny tany.
  6. Miankina amin’ny karazany.
  7. Angonina rehefa volontany ny voa.
  8. Voa mafy sy maina.
  9. Hamandoana < 14 %.
  10. Fijinjana amin’ny tanana na milina.

Q4 : Quels sont les besoins nutritifs du soja ?

FR :

  1. Phosphore (P) important pour floraison.
  2. Potassium (K) pour rendement.
  3. Calcium (Ca) pour nodulation.
  4. Soufre (S) pour protéines.
  5. Magnésium (Mg) pour photosynthèse.
  6. Bore et Molybdène utiles.
  7. Compost améliore disponibilité nutriments.
  8. Engrais azotés inutiles (fixation).
  9. Besoin modéré en eau.
  10. pH idéal : 6–7.

MG :

  1. Phosphore ilaina amin’ny voninkazo.
  2. Potasioma manampy vokatra.
  3. Calcium ilaina amin’ny nodula.
  4. Solifara ho an’ny protéine.
  5. Magnésium ho an’ny fotosintazy.
  6. Bore sy Molybdène ilaina.
  7. Komposta manampy otrikaina.
  8. Tsy mila azota simika (manamboatra).
  9. Mila rano antonony.
  10. pH tsara indrindra : 6–7.

Q5 : Quels sont les principaux ravageurs du soja ?

FR :

  1. Chenilles défoliatrices.
  2. Pucerons.
  3. Criquets.
  4. Termites.
  5. Punaises suceuses.
  6. Mineuses des feuilles.
  7. Nématodes.
  8. Oiseaux granivores.
  9. Rongeurs.
  10. Charançons au stockage.

MG :

  1. Lafika mpihinana ravina.
  2. Voangory kely (pucerons).
  3. Valala.
  4. Fanenitra.
  5. Bibikely mitsentsitra ranon-javamaniry.
  6. Bibikely mihady ravina.
  7. Nematoda.
  8. Vorona mpihinana voa.
  9. Voalavo.
  10. Bibikely fitahirizana.

Q6 : Quelles maladies touchent le soja tropical ?

FR :

  1. Rouille du soja.
  2. Oïdium.
  3. Fusariose.
  4. Cercosporiose.
  5. Anthracnose.
  6. Pourriture racinaire.
  7. Virus mosaïque.
  8. Nécrose foliaire.
  9. Jaunissement viral.
  10. Moisissures au stockage.

MG :

  1. Harafesina soja.
  2. Oidium.
  3. Fusariose.
  4. Cercosporiose.
  5. Anthracnose.
  6. Fahasimban’ny faka.
  7. Virozy mosaïque.
  8. Ravina may.
  9. Ravina mihafotsy noho ny virozy.
  10. Bobongolo amin’ny fitahirizana.

Q7 : Quels sont les avantages nutritionnels du soja ?

FR :

  1. Très riche en protéines (40 %).
  2. Source de lipides insaturés.
  3. Contient glucides complexes.
  4. Vitamines B1, B2, B6.
  5. Fer et calcium abondants.
  6. Sans gluten.
  7. Complément aux céréales.
  8. Source de lait végétal.
  9. Source de tofu, tempeh.
  10. Réduit malnutrition protéique.

MG :

  1. Manankarena protéine (40 %).
  2. Menaka mahasalama.
  3. Glucides sarotra levona.
  4. Vitamina B1, B2, B6.
  5. Manankarena vy sy calcium.
  6. Tsy misy gluten.
  7. Fanampiny amin’ny katsaka/vary.
  8. Atao ronono soja.
  9. Atao tofu, tempeh.
  10. Manampy amin’ny tsy fahampian-tsakafo protéique.

Q8 : Quels sont les usages économiques du soja ?

FR :

  1. Vente en graines.
  2. Transformation en huile.
  3. Fabrication lait soja.
  4. Production tofu.
  5. Production tempeh.
  6. Tourteaux = fourrage.
  7. Exportation régionale.
  8. Marché international en croissance.
  9. Filière bio très demandeuse.
  10. Revenus complémentaires pour producteurs.

MG :

  1. Varotra voa.
  2. Atao menaka.
  3. Atao ronono soja.
  4. Atao tofu.
  5. Atao tempeh.
  6. Sisa = sakafon’omby.
  7. Aondrana amin’ny tsena manodidina.
  8. Tsena iraisam-pirenena mitombo.
  9. Bio be mpividy.
  10. Vola fanampiny ho an’ny tantsaha.

Q9 : Quels avantages agronomiques du soja en rotation ?

FR :

  1. Fixe l’azote atmosphérique.
  2. Améliore fertilité sol.
  3. Réduit besoins engrais.
  4. Brise cycles maladies.
  5. Couvre sol rapidement.
  6. Valorise sols sableux.
  7. Améliore structure sol.
  8. Prépare terrain pour céréales.
  9. Apporte biomasse organique.
  10. Compatible agroécologie.

MG :

  1. Manamboatra azota.
  2. Manatsara ny tany.
  3. Mihena zezika ilaina.
  4. Tapaka ny aretina.
  5. Manarona ny tany haingana.
  6. Mety amin’ny tany fasika.
  7. Manatsara firafitra.
  8. Manomana tany ho an’ny katsaka.
  9. Manampy akora organika.
  10. Tafiditra amin’ny agroécologie.

Q10 : Comment intégrer le soja dans une rotation agroécologique ?

FR :

  1. Après maïs.
  2. Après riz pluvial.
  3. Après sorgho.
  4. Avant manioc.
  5. Avant patate douce.
  6. En alternance avec arachide.
  7. Associer engrais verts.
  8. Plan rotation 3–4 ans.
  9. Compost annuel conseillé.
  10. Paillage systématique après récolte.

MG :

  1. Aorian’ny katsaka.
  2. Aorian’ny vary main-tany.
  3. Aorian’ny sorgho.
  4. Alohan’ny mangahazo.
  5. Alohan’ny ovy mamy.
  6. Amin’ny fifandimbiasana amin’ny voanjo.
  7. Atambatra amin’ny legioma manarona tany.
  8. Drafitra 3–4 taona.
  9. Komposta isan-taona.
  10. Mulch aorian’ny fijinjana.

13. Tomate tropicale (plein champ)

13. Tomate tropicale (plein champ)

FR :

  • Semis en pépinière, repiquage 25 x 60 cm.
  • Paillage + tuteurage.
  • Traitement biocontrôle (extraits neem).
  • Récolte 3–4 mois.

MG :

  • Voatabia : apetraka 25 x 60 sm.
  • Mulch sy tuteur.
  • Fanafody biokontrôla.
  • Angonina 3–4 volana.

📘 Sous-sujet : Tomate tropicale (plein champ)

Q1 : Comment préparer les plants de tomate en pépinière ?

FR :

  1. Choisir semences certifiées ou locales saines.
  2. Semer en pépinière ombragée.
  3. Substrat riche en compost mûr.
  4. Espacer semis pour éviter maladies.
  5. Arroser légèrement tous les jours.
  6. Désherber et nettoyer la pépinière.
  7. Surveiller pucerons et mouches blanches.
  8. Pailler pour conserver humidité.
  9. Durée en pépinière : 3–4 semaines.
  10. Repiquer quand plantules ont 4–5 feuilles vraies.

MG :

  1. Voa voamarina na voa salama.
  2. Famafazana amin’ny toerana alokaloka.
  3. Tany misy komposta masaka.
  4. Elanelana kely amin’ny famafazana.
  5. Manondraka isan’andro kely.
  6. Manadio ny toeram-pambolena.
  7. Tandremo ny voangory sy lalitra fotsy.
  8. Mulch mba hitahiry rano.
  9. 3–4 herinandro ao amin’ny zana-ketsa.
  10. Afindra rehefa 4–5 ravina marina.

Q2 : Comment repiquer la tomate correctement ?

FR :

  1. Espacement 25 × 60 cm.
  2. Planter en lignes.
  3. Arroser trou de plantation avant repiquage.
  4. Enfouir jusqu’aux premières feuilles.
  5. Pailler immédiatement après repiquage.
  6. Repiquer en fin d’après-midi.
  7. Choisir sol bien drainé.
  8. Apporter compost dans le trou.
  9. Éviter blessures racinaires.
  10. Surveiller reprise 7–10 j après.

MG :

  1. Elanelana 25 × 60 sm.
  2. Apetraka amin’ny tsipika.
  3. Tondrahana aloha ny lavaka.
  4. Atsofoka hatrany amin’ny ravina voalohany.
  5. Mulch avy hatrany.
  6. Afindra amin’ny hariva.
  7. Tany tsy mitroka rano be.
  8. Komposta ao amin’ny lavaka.
  9. Aza manimba ny faka.
  10. Jereo ny fitomboana aorian’ny 7–10 andro.

Q3 : Quels sont les avantages du paillage pour la tomate ?

FR :

  1. Réduit évaporation.
  2. Conserve humidité.
  3. Diminue adventices.
  4. Protège contre éclaboussures maladies.
  5. Stabilise température sol.
  6. Améliore fertilité avec décomposition.
  7. Réduit stress hydrique.
  8. Meilleure qualité des fruits.
  9. Diminution travail désherbage.
  10. Rendement amélioré.

MG :

  1. Mihena ny fitetezam-pofona.
  2. Mitahiry rano.
  3. Mihena ny ahi-dratsy.
  4. Miaro amin’ny aretina avy amin’ny tany.
  5. Mitazona ny hafanana.
  6. Manampy zezika rehefa lo.
  7. Mihena ny tsy fahampian-drano.
  8. Voa tsara kokoa.
  9. Mihena ny asa fanadiovana.
  10. Mitombo ny vokatra.

Q4 : Pourquoi faut-il tuteurer la tomate ?

FR :

  1. Soutenir la tige principale.
  2. Éviter que fruits touchent le sol.
  3. Réduire pourritures.
  4. Améliorer aération.
  5. Faciliter récolte.
  6. Réduire incidence maladies.
  7. Éviter casse tiges par vent.
  8. Récolte plus propre.
  9. Production plus régulière.
  10. Durée de production prolongée.

MG :

  1. Manohana ny taho.
  2. Aza avela hikasika ny tany ny voa.
  3. Mihena ny lo.
  4. Mihatsara ny rivotra.
  5. Mora kokoa ny mijinja.
  6. Mihena ny aretina.
  7. Aza tapaka amin’ny rivotra.
  8. Vokatra madio kokoa.
  9. Mitohy tsara ny famokarana.
  10. Maharitra kokoa ny fijinjana.

Q5 : Quels traitements de biocontrôle peuvent être utilisés ?

FR :

  1. Extraits de neem (anti-insectes).
  2. Décoctions d’ail.
  3. Purin d’ortie.
  4. Purin de neem + savon noir.
  5. Extrait de piment fort.
  6. Huile de neem diluée.
  7. Décoction de tabac (usage limité).
  8. Macération de papayer.
  9. Associations avec basilic/œillet d’Inde.
  10. Rotation culturale pour réduire pression.

MG :

  1. Rano neem (manohitra bibikely).
  2. Rano tongolo lay.
  3. Rano anana ortie.
  4. Neem + savony mainty.
  5. Rano sakay masiaka.
  6. Menaka neem voaravina rano.
  7. Rano paraky (voafetra).
  8. Rano ravina papay.
  9. Fampiarahana amin’ny anana basilika.
  10. Fifandimbiasana voly.

Q6 : Quels sont les principaux ravageurs de la tomate tropicale ?

FR :

  1. Mouche blanche.
  2. Pucerons.
  3. Tuta absoluta (mineuse).
  4. Chenilles défoliatrices.
  5. Thrips.
  6. Criquets.
  7. Nématodes racinaires.
  8. Acariens rouges.
  9. Rongeurs.
  10. Oiseaux.

MG :

  1. Lalitra fotsy.
  2. Voangory kely.
  3. Tuta absoluta.
  4. Lafika mpihinana ravina.
  5. Thrips.
  6. Valala.
  7. Nematoda amin’ny faka.
  8. Moka mena.
  9. Voalavo.
  10. Vorona.

Q7 : Quelles sont les principales maladies de la tomate tropicale ?

FR :

  1. Mildiou.
  2. Alternariose.
  3. Fusariose.
  4. Verticilliose.
  5. Oïdium.
  6. Virus mosaïque.
  7. Jaunisse en cuillère.
  8. Bactériose.
  9. Pourriture apicale.
  10. Pourriture grise (Botrytis).

MG :

  1. Mildiou.
  2. Alternariose.
  3. Fusariose.
  4. Verticilliose.
  5. Oidium.
  6. Virozy mosaïque.
  7. Ravina mivalona mavo.
  8. Aretina bakteria.
  9. Fahalò an-tampon’ny voa.
  10. Fahalò volondavenona.

Q8 : Quelle est la durée du cycle cultural de la tomate en plein champ ?

FR :

  1. 3–4 mois.
  2. Variétés précoces : 90 jours.
  3. Variétés tardives : 120 jours.
  4. Pépinière : 3–4 semaines.
  5. Production échelonnée.
  6. Dépend variété.
  7. Dépend pluviométrie.
  8. Dépend fertilité sol.
  9. Dépend irrigation.
  10. Récolte quand fruits rouges fermes.

MG :

  1. 3–4 volana.
  2. Karazany fohy : 90 andro.
  3. Karazany lava : 120 andro.
  4. Zana-ketsa 3–4 herinandro.
  5. Mety ho an-tsakany sy an-davany.
  6. Miankina amin’ny karazany.
  7. Miankina amin’ny rotsakorana.
  8. Miankina amin’ny tany.
  9. Miankina amin’ny fanondrahana.
  10. Angonina rehefa mena mafy ny voa.

Q9 : Quels sont les avantages économiques de la tomate tropicale ?

FR :

  1. Culture à forte valeur ajoutée.
  2. Demande élevée en ville.
  3. Vente fruits frais.
  4. Transformation en sauce/purée.
  5. Source d’emplois.
  6. Revenus réguliers pour maraîchers.
  7. Possibilité export régionale.
  8. Intérêt filière bio.
  9. Diversification revenus paysans.
  10. Sécurité alimentaire renforcée.

MG :

  1. Vola lehibe azo amin’ny voatabia.
  2. Be mpividy any an-tanàna.
  3. Varotra voa vaovao.
  4. Atao saosy na purée.
  5. Mamorona asa.
  6. Vola tsy tapaka ho an’ny mpamboly.
  7. Azo aondrana.
  8. Bio tena misy tsena.
  9. Manampy vola ho an’ny tantsaha.
  10. Manampy amin’ny fiarovana ara-tsakafo.

Q10 : Comment intégrer la tomate dans une rotation agroécologique ?

FR :

  1. Après arachide.
  2. Après niébé.
  3. Après maïs.
  4. Avant patate douce.
  5. Avant manioc.
  6. Associer engrais verts.
  7. Rotation sur 3–4 ans.
  8. Paillage permanent.
  9. Éviter monoculture tomate.
  10. Compost annuel conseillé.

MG :

  1. Aorian’ny voanjo.
  2. Aorian’ny voanemba.
  3. Aorian’ny katsaka.
  4. Alohan’ny ovy mamy.
  5. Alohan’ny mangahazo.
  6. Atambatra amin’ny legioma manarona tany.
  7. Drafitra 3–4 taona.
  8. Mulch tsy tapaka.
  9. Aza manao voatabia mitohy.
  10. Komposta isan-taona.

14. Piment tropical


14. Piment tropical

FR :

  • Semis pépinière, repiquage 40 x 60 cm.
  • Paillage important.
  • Récolte échelonnée.

MG :

  • Sakay : apetraka 40 x 60 sm.
  • Mulch be.
  • Fangalana tsikelikely.

📘 Sous-sujet : Piment tropical

Q1 : Comment préparer les plants de piment en pépinière ?

FR :

  1. Choisir semences certifiées ou locales saines.
  2. Semer en planches surélevées.
  3. Utiliser substrat riche en compost.
  4. Espacer semis pour éviter maladies.
  5. Arroser légèrement chaque jour.
  6. Pailler la pépinière pour humidité.
  7. Surveiller pucerons et thrips.
  8. Durée en pépinière : 4–5 semaines.
  9. Planter quand plants ont 5–6 feuilles.
  10. Endurcir plants avant repiquage.

MG :

  1. Voa voamarina na voa salama.
  2. Famafazana amin’ny dabilio avo.
  3. Tany misy komposta.
  4. Elanelana mba tsy ho marary.
  5. Manondraka kely isan’andro.
  6. Mulch mba hitahiry rano.
  7. Tandremo ny voangory sy thrips.
  8. 4–5 herinandro ao amin’ny ketsa.
  9. Afindra rehefa 5–6 ravina.
  10. Atao mahazatra amin’ny masoandro aloha.

Q2 : Comment repiquer correctement le piment ?

FR :

  1. Espacement 40 × 60 cm.
  2. Planter en lignes droites.
  3. Arroser le trou avant repiquage.
  4. Enfouir jusqu’au collet.
  5. Pailler immédiatement après repiquage.
  6. Repiquer en fin d’après-midi.
  7. Ajouter compost dans trou.
  8. Sol drainé et fertile.
  9. Éviter blessures racinaires.
  10. Surveiller reprise après 7–10 j.

MG :

  1. Elanelana 40 × 60 sm.
  2. Apetraka amin’ny tsipika.
  3. Tondrahana aloha ny lavaka.
  4. Arotsaka hatramin’ny fototra.
  5. Mulch avy hatrany.
  6. Afindra amin’ny hariva.
  7. Komposta ao anaty lavaka.
  8. Tany tsy mitroka rano be.
  9. Aza manimba ny faka.
  10. Jereo ny fitomboana aorian’ny 7–10 andro.

Q3 : Quels sont les avantages du paillage pour le piment ?

FR :

  1. Conserve humidité du sol.
  2. Réduit évaporation.
  3. Protège contre adventices.
  4. Réduit éclaboussures maladies.
  5. Stabilise température.
  6. Améliore structure sol.
  7. Réduit stress hydrique.
  8. Favorise rendement.
  9. Fruits plus homogènes.
  10. Diminution travail sarclage.

MG :

  1. Mitahiry rano amin’ny tany.
  2. Mihena ny fitetezam-pofona.
  3. Manakana ahi-dratsy.
  4. Miaro amin’ny aretina avy amin’ny tany.
  5. Mitazona hafanana.
  6. Manatsara ny tany.
  7. Mihena tsy fahampian-drano.
  8. Manampy vokatra.
  9. Voa mitovy kokoa.
  10. Mihena ny asa fanadiovana.

Q4 : Quels sont les principaux ravageurs du piment tropical ?

FR :

  1. Thrips.
  2. Pucerons.
  3. Mouche blanche.
  4. Acariens rouges.
  5. Chenilles mineuses.
  6. Criquets.
  7. Nématodes racinaires.
  8. Rongeurs.
  9. Oiseaux.
  10. Fourmis.

MG :

  1. Thrips.
  2. Voangory kely.
  3. Lalitra fotsy.
  4. Moka mena.
  5. Lafika mihady ravina.
  6. Valala.
  7. Nematoda amin’ny faka.
  8. Voalavo.
  9. Vorona.
  10. Vitsika.

Q5 : Quelles maladies affectent le piment ?

FR :

  1. Anthracnose.
  2. Mildiou.
  3. Oïdium.
  4. Virus de la mosaïque.
  5. Flétrissure bactérienne.
  6. Fusariose.
  7. Alternariose.
  8. Pourriture apicale.
  9. Brûlure bactérienne.
  10. Pourriture grise.

MG :

  1. Anthracnose.
  2. Mildiou.
  3. Oidium.
  4. Virozy mosaïque.
  5. Faharendran’ny bakteria.
  6. Fusariose.
  7. Alternariose.
  8. Fahalò amin’ny tendron’ny voa.
  9. Aretina bakteria mankarary ravina.
  10. Fahalò volondavenona.

Q6 : Quelle est la durée du cycle du piment tropical ?

FR :

  1. 3–4 mois en moyenne.
  2. Floraison à 45–60 j.
  3. Premières récoltes à 75–90 j.
  4. Production échelonnée.
  5. Période totale : 4–6 mois.
  6. Variétés précoces plus rapides.
  7. Variétés tardives plus productives.
  8. Dépend fertilité sol.
  9. Dépend irrigation.
  10. Dépend gestion maladies.

MG :

  1. 3–4 volana.
  2. Voninkazo amin’ny 45–60 andro.
  3. Fijinjana voalohany amin’ny 75–90 andro.
  4. Angonina tsikelikely.
  5. 4–6 volana ny fotoana rehetra.
  6. Karazany fohy haingana kokoa.
  7. Karazany lava manome be.
  8. Miankina amin’ny tany.
  9. Miankina amin’ny fanondrahana.
  10. Miankina amin’ny fitantanana aretina.

Q7 : Quels sont les avantages économiques du piment ?

FR :

  1. Forte demande locale.
  2. Vente fruits frais.
  3. Séchage au soleil pour conservation.
  4. Transformation en poudre.
  5. Transformation en sauces.
  6. Export possible.
  7. Bon prix sur marché urbain.
  8. Source d’emplois.
  9. Revenus réguliers pour maraîchers.
  10. Diversification du revenu agricole.

MG :

  1. Be mpividy.
  2. Varotra voa vaovao.
  3. Atao maina amin’ny masoandro.
  4. Atao vovoka.
  5. Atao saosy.
  6. Azo aondrana.
  7. Vidiny tsara eny an-tanàna.
  8. Mamorona asa.
  9. Vola tsy tapaka ho an’ny tantsaha.
  10. Fanampiny amin’ny vola.

Q8 : Comment organiser la récolte échelonnée du piment ?

FR :

  1. Récolter fruits verts pour consommation.
  2. Récolter rouges pour séchage.
  3. Cueillir tous les 3–4 jours.
  4. Utiliser paniers aérés.
  5. Éviter récolte en pluie.
  6. Trier fruits sains.
  7. Sécher immédiatement les rouges.
  8. Stocker en sacs propres.
  9. Rotation main-d’œuvre nécessaire.
  10. Période récolte : 2–3 mois.

MG :

  1. Angonina maitso hohanina.
  2. Angonina mena ho maina.
  3. Isan’andro 3–4 andro.
  4. Harona misy rivotra no ampiasaina.
  5. Aza mijinja amin’ny orana.
  6. Asio misaraka ny voa salama.
  7. Atao maina avy hatrany ny mena.
  8. Tehirizo anaty gony madio.
  9. Mila mpiasa miverimberina.
  10. Mijinja 2–3 volana.

Q9 : Quels sont les bénéfices nutritionnels du piment ?

FR :

  1. Riche en vitamine C.
  2. Riche en vitamine A.
  3. Contient antioxydants.
  4. Stimule l’appétit.
  5. Améliore digestion.
  6. Aide à la conservation des aliments.
  7. Source de fibres.
  8. Pouvoir antiseptique.
  9. Épice culinaire universelle.
  10. Valorisation culturelle.

MG :

  1. Manankarena vitamina C.
  2. Manankarena vitamina A.
  3. Misy antioxydants.
  4. Mandrisika fahazotoan-komana.
  5. Manampy fandevonan-kanina.
  6. Manampy mitahiry sakafo.
  7. Manankarena fibre.
  8. Misy hery manadio.
  9. Sakay be mpampiasa eran-tany.
  10. Anisan’ny kolontsaina.

Q10 : Comment intégrer le piment dans une rotation agroécologique ?

FR :

  1. Après arachide.
  2. Après niébé.
  3. Après maïs.
  4. Avant patate douce.
  5. Avant manioc.
  6. Alterner avec engrais verts.
  7. Rotation 3–4 ans.
  8. Paillage permanent conseillé.
  9. Éviter monoculture intensive.
  10. Compost annuel recommandé.

MG :

  1. Aorian’ny voanjo.
  2. Aorian’ny voanemba.
  3. Aorian’ny katsaka.
  4. Alohan’ny ovy mamy.
  5. Alohan’ny mangahazo.
  6. Atambatra amin’ny legioma manarona tany.
  7. Drafitra 3–4 taona.
  8. Mulch tsy tapaka.
  9. Aza manao voly sakay mitohy.
  10. Komposta isan-taona.

15. Aubergine tropicale

15. Aubergine tropicale

FR :

  • Pépinière → repiquage 50 x 70 cm.
  • Compost 5 t/ha.
  • Paillage + arrosage régulier.

MG :

  • Voatavo : apetraka 50 x 70 sm.
  • Komposta 5 t/ha.
  • Mulch sy fanondrahana.


📘 Sous-sujet : Aubergine tropicale

Q1 : Comment préparer les plants d’aubergine en pépinière ?

FR :

  1. Choisir semences saines ou certifiées.
  2. Semer en planches pépinières surélevées.
  3. Substrat riche en compost fin.
  4. Espacer semis pour éviter maladies.
  5. Arroser légèrement tous les jours.
  6. Pailler pépinière pour garder humidité.
  7. Surveiller pucerons et altises.
  8. Durée en pépinière : 4–5 semaines.
  9. Repiquer à 5–6 feuilles vraies.
  10. Endurcir plants avant repiquage.

MG :

  1. Voa salama na voamarina.
  2. Famafazana amin’ny dabilio avo.
  3. Tany misy komposta madinika.
  4. Elanelana mba tsy ho marary.
  5. Manondraka kely isan’andro.
  6. Mulch mba hitahiry rano.
  7. Tandremo ny voangory sy bibikely.
  8. 4–5 herinandro ao amin’ny ketsa.
  9. Afindra rehefa 5–6 ravina.
  10. Atao mahazatra amin’ny masoandro aloha.

Q2 : Comment repiquer correctement l’aubergine ?

FR :

  1. Espacement 50 × 70 cm.
  2. Planter en lignes droites.
  3. Arroser le trou avant repiquage.
  4. Enfouir jusqu’au collet.
  5. Ajouter compost (5 t/ha).
  6. Pailler immédiatement après repiquage.
  7. Repiquer en fin d’après-midi.
  8. Éviter sols trop humides.
  9. Protéger jeunes plants du soleil fort.
  10. Surveiller reprise après 7–10 j.

MG :

  1. Elanelana 50 × 70 sm.
  2. Apetraka amin’ny tsipika.
  3. Tondrahana aloha ny lavaka.
  4. Arotsaka hatramin’ny fototra.
  5. Komposta 5 t/ha.
  6. Mulch avy hatrany.
  7. Afindra amin’ny hariva.
  8. Aza atao amin’ny tany mando be.
  9. Arovy amin’ny masoandro mafy.
  10. Jereo ny fitomboana aorian’ny 7–10 andro.

Q3 : Quels sont les avantages de l’apport de compost (5 t/ha) ?

FR :

  1. Améliore fertilité du sol.
  2. Fournit azote, phosphore, potassium.
  3. Stimule la vie microbienne.
  4. Améliore rétention d’eau.
  5. Structure sol plus aérée.
  6. Réduit maladies racinaires.
  7. Favorise croissance vigoureuse.
  8. Améliore rendement.
  9. Réduit besoin engrais chimiques.
  10. Sol plus durablement productif.

MG :

  1. Manatsara ny tany.
  2. Manome azota, phosphore, potasioma.
  3. Mandrisika mikraoba.
  4. Mitahiry rano.
  5. Tany misokatra kokoa.
  6. Mihena aretin’ny faka.
  7. Mitombo ny fitomboana.
  8. Mitombo ny vokatra.
  9. Mihena zezika simika.
  10. Tany maharitra mahavokatra.

Q4 : Quels sont les avantages du paillage pour l’aubergine ?

FR :

  1. Conserve humidité.
  2. Réduit évaporation.
  3. Limite adventices.
  4. Protège contre éclaboussures maladies.
  5. Stabilise température sol.
  6. Améliore structure biologique.
  7. Réduit stress hydrique.
  8. Meilleure qualité des fruits.
  9. Réduit besoins en arrosage.
  10. Augmente rendement.

MG :

  1. Mitahiry rano.
  2. Mihena fitetezam-pofona.
  3. Manakana ahi-dratsy.
  4. Miaro amin’ny aretina avy amin’ny tany.
  5. Mitazona hafanana.
  6. Manatsara ny tany.
  7. Mihena tsy fahampian-drano.
  8. Voa tsara kokoa.
  9. Mihena fanondrahana.
  10. Mitombo vokatra.

Q5 : Quelle gestion de l’arrosage est recommandée ?

FR :

  1. Arrosage régulier, surtout au début.
  2. 2–3 fois/semaine en saison sèche.
  3. Réduire en saison des pluies.
  4. Arroser le matin ou soir.
  5. Éviter arrosage en plein soleil.
  6. Préférer irrigation localisée.
  7. Paillage réduit fréquence.
  8. Sol toujours légèrement humide.
  9. Éviter excès d’eau (pourriture racinaire).
  10. Adapter selon sol et climat.

MG :

  1. Fanondrahana tsy tapaka.
  2. In-2–3 isan-kerinandro amin’ny main-tany.
  3. Mihena amin’ny fotoam-pahavaratra.
  4. Atao maraina na hariva.
  5. Aza manondraka amin’ny andro mahamay.
  6. Aleo fanondrahana an-tany (goutte-à-goutte).
  7. Mulch mampihena fanondrahana.
  8. Tany tsy maintsy mando kely.
  9. Aza be loatra rano.
  10. Ataovy mifanaraka amin’ny tany sy toetrandro.

Q6 : Quels sont les principaux ravageurs de l’aubergine ?

FR :

  1. Pucerons.
  2. Thrips.
  3. Mouche blanche.
  4. Acariens rouges.
  5. Chenilles foreuses des tiges.
  6. Criquets.
  7. Altises.
  8. Nématodes racinaires.
  9. Rongeurs.
  10. Oiseaux.

MG :

  1. Voangory kely.
  2. Thrips.
  3. Lalitra fotsy.
  4. Moka mena.
  5. Lafika mandavaka taho.
  6. Valala.
  7. Bibikely mpihinana ravina.
  8. Nematoda amin’ny faka.
  9. Voalavo.
  10. Vorona.

Q7 : Quelles maladies touchent l’aubergine ?

FR :

  1. Flétrissure bactérienne.
  2. Fusariose.
  3. Verticilliose.
  4. Anthracnose.
  5. Cercosporiose.
  6. Oïdium.
  7. Mildiou.
  8. Virus mosaïque.
  9. Pourriture apicale.
  10. Alternariose.

MG :

  1. Fahalavoan’ny bakteria.
  2. Fusariose.
  3. Verticilliose.
  4. Anthracnose.
  5. Cercosporiose.
  6. Oidium.
  7. Mildiou.
  8. Virozy mosaïque.
  9. Fahalò amin’ny tendron’ny voa.
  10. Alternariose.

Q8 : Quelle est la durée du cycle de l’aubergine ?

FR :

  1. 3–4 mois jusqu’aux premières récoltes.
  2. Pépinière : 4–5 semaines.
  3. Floraison : 40–50 j après repiquage.
  4. Premiers fruits : 70–80 j.
  5. Production échelonnée.
  6. Cycle total 5–6 mois.
  7. Dépend variété.
  8. Dépend fertilité sol.
  9. Dépend irrigation.
  10. Dépend gestion maladies.

MG :

  1. 3–4 volana vao misy fijinjana.
  2. Zana-ketsa 4–5 herinandro.
  3. Voninkazo amin’ny 40–50 andro.
  4. Voa voalohany 70–80 andro.
  5. Angonina tsikelikely.
  6. 5–6 volana ny fotoana rehetra.
  7. Miankina amin’ny karazany.
  8. Miankina amin’ny tany.
  9. Miankina amin’ny fanondrahana.
  10. Miankina amin’ny fitantanana aretina.

Q9 : Quels sont les avantages économiques de l’aubergine ?

FR :

  1. Forte demande locale.
  2. Vente fruits frais.
  3. Transformation possible en sauces.
  4. Production régulière.
  5. Prix attractif en marché urbain.
  6. Source d’emplois ruraux.
  7. Revenus pour petits maraîchers.
  8. Diversification revenus agricoles.
  9. Intérêt filière bio.
  10. Sécurité alimentaire renforcée.

MG :

  1. Be mpividy.
  2. Varotra voa vaovao.
  3. Atao saosy.
  4. Famokarana tsy tapaka.
  5. Vidiny tsara any an-tanàna.
  6. Mamorona asa any ambanivohitra.
  7. Vola ho an’ny tantsaha madinika.
  8. Fanampiny amin’ny vola.
  9. Bio misy tsena.
  10. Manampy amin’ny fiarovana ara-tsakafo.

Q10 : Comment intégrer l’aubergine dans une rotation agroécologique ?

FR :

  1. Après arachide.
  2. Après niébé.
  3. Après maïs.
  4. Avant patate douce.
  5. Avant manioc.
  6. Alterner avec engrais verts.
  7. Rotation 3–4 ans.
  8. Paillage permanent.
  9. Éviter monoculture intensive.
  10. Compost annuel conseillé.

MG :

  1. Aorian’ny voanjo.
  2. Aorian’ny voanemba.
  3. Aorian’ny katsaka.
  4. Alohan’ny ovy mamy.
  5. Alohan’ny mangahazo.
  6. Atambatra amin’ny legioma manarona tany.
  7. Drafitra 3–4 taona.
  8. Mulch tsy tapaka.
  9. Aza manao voly mitohy.
  10. Komposta isan-taona.

16. Chou tropical

16. Chou tropical

FR :

  • Pépinière ombragée → repiquage 50 x 50 cm.
  • Sol riche composté.
  • Surveillance chenilles noctuelles.

MG :

  • Laisoa : apetraka 50 x 50 sm.
  • Tany manankarena.
  • Jereo bibikely mpihinana ravina.

Les grandes histoires ont une personnalité. Envisagez de raconter une belle histoire qui donne de la personnalité. Écrire une histoire avec de la personnalité pour des clients potentiels aidera à établir un lien relationnel. Cela se traduit par de petites spécificités comme le choix des mots ou des phrases. Écrivez de votre point de vue, pas de l'expérience de quelqu'un d'autre.

Les grandes histoires sont pour tout le monde, même lorsqu'elles ne sont écrites que pour une seule personne. Si vous essayez d'écrire en pensant à un public large et général, votre histoire sonnera fausse et manquera d'émotion. Personne ne sera intéressé. Ecrire pour une personne en particulier signifie que si c'est authentique pour l'un, c'est authentique pour le reste.

17. Paillage tropical

17. Paillage tropical

FR :

  • 5–10 cm paille sèche.
  • Maintien humidité.
  • Réduction adventices.
  • Protection contre chaleur.

MG :

  • Mulch 5–10 sm.
  • Mitahiry hamandoana.
  • Manakana ahi-dratsy.
  • Manalefaka hafanana.


📘 Sous-sujet : Chou tropical (plein champ)

Q1 : Comment préparer les plants de chou en pépinière ?

FR :

  1. Choisir semences saines.
  2. Semer en pépinière ombragée.
  3. Substrat riche en compost mûr.
  4. Espacer semis pour éviter maladies.
  5. Arroser régulièrement.
  6. Pailler la pépinière.
  7. Surveiller pucerons.
  8. Durée pépinière : 4–5 semaines.
  9. Repiquer à 5–6 feuilles.
  10. Endurcir avant transplantation.

MG :

  1. Voa salama.
  2. Famafazana amin’ny toerana alokaloka.
  3. Tany misy komposta.
  4. Elanelana mba tsy ho marary.
  5. Manondraka tsy tapaka.
  6. Mulch mba hitahiry rano.
  7. Tandremo ny voangory kely.
  8. 4–5 herinandro ao amin’ny ketsa.
  9. Afindra rehefa misy ravina 5–6.
  10. Atao mahazatra amin’ny masoandro aloha.

Q2 : Comment repiquer le chou correctement ?

FR :

  1. Espacement 50 × 50 cm.
  2. Planter en lignes droites.
  3. Arroser trou avant repiquage.
  4. Enfouir jusqu’au collet.
  5. Apporter compost dans le trou.
  6. Pailler immédiatement.
  7. Repiquer en fin d’après-midi.
  8. Choisir sol riche et fertile.
  9. Éviter sols hydromorphes.
  10. Surveiller reprise après 7–10 j.

MG :

  1. Elanelana 50 × 50 sm.
  2. Apetraka amin’ny tsipika.
  3. Tondrahana aloha ny lavaka.
  4. Atsofoka hatramin’ny fototra.
  5. Komposta ao anaty lavaka.
  6. Mulch avy hatrany.
  7. Afindra amin’ny hariva.
  8. Tany manankarena sy lonaka.
  9. Aza atao amin’ny tany mando be.
  10. Jereo ny fitomboana aorian’ny 7–10 andro.

Q3 : Quels sont les avantages d’un sol riche en compost pour le chou ?

FR :

  1. Croissance vigoureuse.
  2. Feuillage dense.
  3. Pomme bien formée.
  4. Résistance accrue maladies.
  5. Meilleure rétention d’eau.
  6. Apport azote naturel.
  7. Moins besoin engrais chimiques.
  8. Améliore structure sol.
  9. Rendement plus élevé.
  10. Qualité gustative améliorée.

MG :

  1. Fitomboana haingana.
  2. Ravina betsaka.
  3. Loham-bary tsara endrika.
  4. Maharitra amin’ny aretina.
  5. Mitahiry rano.
  6. Manome azota voajanahary.
  7. Mihena ny zezika simika.
  8. Manatsara ny tany.
  9. Mitombo ny vokatra.
  10. Tsiro tsara kokoa.

Q4 : Quels sont les principaux ravageurs du chou tropical ?

FR :

  1. Chenilles noctuelles.
  2. Altises.
  3. Pucerons.
  4. Thrips.
  5. Mouche du chou.
  6. Chenilles défoliatrices.
  7. Criquets.
  8. Escargots.
  9. Nématodes.
  10. Oiseaux.

MG :

  1. Lafika alina.
  2. Bibikely mpihinana ravina.
  3. Voangory kely.
  4. Thrips.
  5. Lalitra laisoa.
  6. Lafika mpihinana ravina.
  7. Valala.
  8. Sifotra.
  9. Nematoda.
  10. Vorona.

Q5 : Quelles maladies touchent le chou tropical ?

FR :

  1. Hernie du chou.
  2. Alternariose.
  3. Mildiou.
  4. Fusariose.
  5. Bactériose.
  6. Pourriture noire.
  7. Oïdium.
  8. Virus mosaïque.
  9. Pourriture grise.
  10. Jaunisse foliaire.

MG :

  1. Hernie laisoa.
  2. Alternariose.
  3. Mildiou.
  4. Fusariose.
  5. Aretina bakteria.
  6. Fahalò mainty.
  7. Oidium.
  8. Virozy mosaïque.
  9. Fahalò volondavenona.
  10. Ravina mihafotsy.

Q6 : Comment gérer les chenilles noctuelles ?

FR :

  1. Observation régulière.
  2. Ramassage manuel tôt matin.
  3. Utilisation filets anti-insectes.
  4. Application extraits neem.
  5. Application Bacillus thuringiensis (Bt).
  6. Maintien biodiversité auxiliaires.
  7. Rotation culturale.
  8. Paillage pour limiter émergence.
  9. Éviter monoculture.
  10. Formation paysans sur IPM.

MG :

  1. Fanaraha-maso tsy tapaka.
  2. Fanangonana amin’ny maraina.
  3. Fefy na harato manohitra bibikely.
  4. Rano neem.
  5. Bacillus thuringiensis (Bt).
  6. Fikarakarana bibikely mahasoa.
  7. Fifandimbiasana voly.
  8. Mulch hanakanana ny bibikely.
  9. Aza manao voly mitohy.
  10. Fampiofanana amin’ny IPM.

Q7 : Quelle est la durée du cycle du chou tropical ?

FR :

  1. 3–4 mois.
  2. Pépinière : 4–5 semaines.
  3. Repiquage à 30–35 j.
  4. Floraison possible si stress.
  5. Pomme formée à 70–90 j.
  6. Récolte à 80–100 j.
  7. Dépend variété.
  8. Dépend climat.
  9. Dépend fertilité sol.
  10. Dépend irrigation.

MG :

  1. 3–4 volana.
  2. Zana-ketsa 4–5 herinandro.
  3. Afindra amin’ny 30–35 andro.
  4. Voninkazo raha misy adin-tsakafo.
  5. Loham-bary amin’ny 70–90 andro.
  6. Angonina amin’ny 80–100 andro.
  7. Miankina amin’ny karazany.
  8. Miankina amin’ny toetrandro.
  9. Miankina amin’ny tany.
  10. Miankina amin’ny fanondrahana.

Q8 : Quels sont les soins culturaux nécessaires ?

FR :

  1. Sarclage régulier.
  2. Paillage permanent.
  3. Irrigation régulière.
  4. Apport compost.
  5. Surveillance ravageurs.
  6. Lutte intégrée (IPM).
  7. Rotation culturale.
  8. Désherbage manuel.
  9. Élimination plants malades.
  10. Tenue carnet de champ.

MG :

  1. Fanadiovana tsy tapaka.
  2. Mulch tsy tapaka.
  3. Fanondrahana tsy tapaka.
  4. Komposta.
  5. Tandremo ny bibikely.
  6. IPM (fitantanana mitambatra).
  7. Fifandimbiasana voly.
  8. Fanongotana ahi-dratsy.
  9. Fanalana zavamaniry marary.
  10. Manoratra boky an-tsaha.

Q9 : Quels sont les avantages économiques du chou tropical ?

FR :

  1. Forte demande locale.
  2. Vente frais en marchés urbains.
  3. Production régulière.
  4. Revenus maraîchers.
  5. Source d’emplois ruraux.
  6. Diversification productions.
  7. Transformation (chou fermenté).
  8. Filière bio valorisée.
  9. Sécurité alimentaire renforcée.
  10. Export possible selon qualité.

MG :

  1. Be mpividy.
  2. Varotra vaovao any an-tanàna.
  3. Famokarana tsy tapaka.
  4. Vola ho an’ny mpamboly.
  5. Mamorona asa any ambanivohitra.
  6. Fanampiny amin’ny voly.
  7. Atao laisoa masaka.
  8. Bio misy tsena.
  9. Manampy amin’ny fiarovana ara-tsakafo.
  10. Azo aondrana raha tsara.

Q10 : Comment intégrer le chou tropical dans une rotation agroécologique ?

FR :

  1. Après arachide.
  2. Après niébé.
  3. Après riz pluvial.
  4. Avant patate douce.
  5. Avant manioc.
  6. Associer engrais verts.
  7. Rotation 3–4 ans.
  8. Paillage systématique.
  9. Compost annuel.
  10. Éviter monoculture.

MG :

  1. Aorian’ny voanjo.
  2. Aorian’ny voanemba.
  3. Aorian’ny vary main-tany.
  4. Alohan’ny ovy mamy.
  5. Alohan’ny mangahazo.
  6. Atambatra amin’ny legioma manarona tany.
  7. Drafitra 3–4 taona.
  8. Mulch tsy tapaka.
  9. Komposta isan-taona.
  10. Aza manao voly mitohy.

Les grandes histoires ont une personnalité. Envisagez de raconter une belle histoire qui donne de la personnalité. Écrire une histoire avec de la personnalité pour des clients potentiels aidera à établir un lien relationnel. Cela se traduit par de petites spécificités comme le choix des mots ou des phrases. Écrivez de votre point de vue, pas de l'expérience de quelqu'un d'autre.

Les grandes histoires sont pour tout le monde, même lorsqu'elles ne sont écrites que pour une seule personne. Si vous essayez d'écrire en pensant à un public large et général, votre histoire sonnera fausse et manquera d'émotion. Personne ne sera intéressé. Ecrire pour une personne en particulier signifie que si c'est authentique pour l'un, c'est authentique pour le reste.

18. Micro-irrigation goutte-à-goutte

18. Micro-irrigation goutte-à-goutte

FR :

  • Tuyaux percés ou kits low-cost.
  • Débit : 1–2 L/plant/jour.
  • Arrosage matin/soir.
  • Réduction maladies foliaires.

MG :

  • Fantsona misy lavaka.
  • 1–2 L/plant/jour.
  • Tondrahana maraina/soratra.
  • Mihena aretin-dravina.

📘 Sous-sujet : Micro-irrigation goutte-à-goutte

Q1 : Quels sont les principes de base de la micro-irrigation goutte-à-goutte ?

FR :

  1. Utilisation de tuyaux percés ou de kits low-cost.
  2. Débit contrôlé proche des racines.
  3. Économie d’eau par rapport à l’arrosage classique.
  4. Apport régulier et localisé.
  5. Pression faible (0,5–1 bar).
  6. Utilisable sur petites et grandes surfaces.
  7. Compatible avec fertilisation liquide.
  8. Facile à automatiser.
  9. Adapté au maraîchage tropical.
  10. Convient aux zones sèches.

MG :

  1. Fantsona misy lavaka na kit.
  2. Rano mivoaka akaikin’ny faka.
  3. Mitsitsy rano kokoa.
  4. Mitovy sy manaraka fotoana.
  5. Tsindry ambany (0,5–1 bar).
  6. Azo ampiasaina amin’ny tany kely sy lehibe.
  7. Azo atambatra amin’ny zezika ranon-javatra.
  8. Mora ampifanarahana amin’ny milina.
  9. Mety amin’ny voly anana.
  10. Mety amin’ny faritra maina.

Q2 : Quel est le débit conseillé par plant ?

FR :

  1. 1–2 litres/plant/jour.
  2. Dépend du type de culture.
  3. Dépend du stade de croissance.
  4. Dépend de la texture du sol.
  5. Dépend de la température.
  6. Dépend de l’humidité ambiante.
  7. Débit réglable par goutteur.
  8. Important de mesurer besoins.
  9. Éviter excès d’eau.
  10. Ajuster selon saison.

MG :

  1. 1–2 L/plant/jour.
  2. Miankina amin’ny karazana voly.
  3. Miankina amin’ny dingana fitomboana.
  4. Miankina amin’ny karazana tany.
  5. Miankina amin’ny hafanana.
  6. Miankina amin’ny hamandoana.
  7. Afaka amboarina amin’ny goutteur.
  8. Zava-dehibe ny mandrefy ny filàna.
  9. Aza be rano loatra.
  10. Ataovy mifanaraka amin’ny vanim-potoana.

Q3 : Quels sont les meilleurs moments pour irriguer ?

FR :

  1. Le matin tôt.
  2. Le soir avant coucher du soleil.
  3. Éviter plein midi.
  4. Réduit évaporation.
  5. Réduit stress thermique.
  6. Favorise absorption racinaire.
  7. Moins de maladies foliaires.
  8. Moins de pertes d’eau.
  9. Meilleure efficacité irrigation.
  10. Permet économie d’énergie.

MG :

  1. Maraina aloha.
  2. Hariva alohan’ny masoandro.
  3. Aza manao amin’ny atoandro.
  4. Mihena fitetezam-pofona.
  5. Mihena adin-tsakafo.
  6. Mampitombo fitrohana amin’ny faka.
  7. Mihena aretina amin’ny ravina.
  8. Mihena ny fatiantoka rano.
  9. Mety kokoa ny fanondrahana.
  10. Mitsitsy angovo.

Q4 : Quels sont les avantages agronomiques du goutte-à-goutte ?

FR :

  1. Humidité constante autour racines.
  2. Croissance régulière.
  3. Moins de stress hydrique.
  4. Meilleure absorption engrais.
  5. Moins d’adventices.
  6. Moins de maladies foliaires.
  7. Réduction érosion du sol.
  8. Meilleure qualité récoltes.
  9. Rendement accru.
  10. Utilisation durable des ressources.

MG :

  1. Hamandoana tsy miova eo akaikin’ny faka.
  2. Fitomboana mitovy.
  3. Mihena tsy fahampian-drano.
  4. Mora raisina ny zezika.
  5. Mihena ahi-dratsy.
  6. Mihena aretina amin’ny ravina.
  7. Mihena ny fiakaran’ny tany.
  8. Vokatra tsara kokoa.
  9. Mitombo ny vokatra.
  10. Fampiasana maharitra ny loharanon-karena.

Q5 : Quels sont les avantages économiques ?

FR :

  1. Réduction consommation d’eau (30–50 %).
  2. Moins de main-d’œuvre pour irrigation.
  3. Moins d’engrais utilisés.
  4. Moins de pertes de récolte.
  5. Production plus régulière.
  6. Valeur marchande améliorée.
  7. Investissement rentable sur 2–3 ans.
  8. Compatible kits low-cost.
  9. Augmente revenus maraîchers.
  10. Permet extension surfaces cultivées.

MG :

  1. Mitsitsy rano 30–50 %.
  2. Mihena ny mpiasa amin’ny fanondrahana.
  3. Mihena ny zezika ampiasaina.
  4. Mihena ny fatiantoka vokatra.
  5. Vokatra tsy tapaka.
  6. Vidiny tsara kokoa eny an-tsena.
  7. Vola miverina ao anatin’ny 2–3 taona.
  8. Azo atao amin’ny kit mora vidy.
  9. Manampy vola ho an’ny mpamboly.
  10. Mampitombo velaran-tany azo volena.

Q6 : Quels sont les inconvénients ou limites du goutte-à-goutte ?

FR :

  1. Coût initial d’installation.
  2. Risque bouchage goutteurs.
  3. Besoin entretien régulier.
  4. Fragilité des tuyaux.
  5. Pas adapté aux pâturages.
  6. Demande eau relativement propre.
  7. Sensible aux rongeurs.
  8. Nécessite surveillance pression.
  9. Système peu mobile.
  10. Formation technique requise.

MG :

  1. Sarotra ny vola voalohany.
  2. Mora mitampina ny lavaka.
  3. Mila fikojakojana tsy tapaka.
  4. Mora vaky ny fantsona.
  5. Tsy mety amin’ny ahitra lehibe.
  6. Mila rano madio.
  7. Mety hohanin’ny voalavo.
  8. Mila fanaraha-maso tsindry.
  9. Tsy mora afindrafindra.
  10. Mila fiofanana teknika.

Q7 : Quels types de cultures conviennent au goutte-à-goutte ?

FR :

  1. Tomate.
  2. Piment.
  3. Aubergine.
  4. Chou.
  5. Oignon.
  6. Patate douce (en plantation dense).
  7. Manioc (stade jeune).
  8. Melon et pastèque.
  9. Cultures sous serre.
  10. Plantes fruitières jeunes.

MG :

  1. Voatabia.
  2. Sakay.
  3. Voatavo.
  4. Laisoa.
  5. Tongolo.
  6. Ovy mamy (raha betsaka).
  7. Mangahazo tanora.
  8. Voatabia sy voatango.
  9. Voly anaty trano.
  10. Hazo fihinam-boa tanora.

Q8 : Comment intégrer la fertilisation au goutte-à-goutte ?

FR :

  1. Fertigation = engrais + eau.
  2. Engrais solubles.
  3. Apports fractionnés.
  4. Azote (N) en petites doses.
  5. Phosphore (P) au début.
  6. Potassium (K) pendant fructification.
  7. Oligo-éléments intégrés.
  8. Réduction pertes engrais.
  9. Meilleure absorption racinaire.
  10. Optimisation rendement.

MG :

  1. Fertigation = zezika + rano.
  2. Zezika levona amin’ny rano.
  3. Ampiasaina tsikelikely.
  4. Azota kely isaky ny fotoana.
  5. Phosphore amin’ny voalohany.
  6. Potasioma amin’ny famokarana voa.
  7. Oligo-éléments tafiditra.
  8. Mihena ny fatiantoka zezika.
  9. Mora raisin’ny faka.
  10. Mitombo ny vokatra.

Q9 : Quelles sont les étapes d’installation d’un kit low-cost ?

FR :

  1. Identifier surface à irriguer.
  2. Tracer lignes de culture.
  3. Poser tuyaux principaux.
  4. Installer tuyaux secondaires percés.
  5. Fixer goutteurs ou trous réguliers.
  6. Raccorder à une réserve d’eau.
  7. Installer filtre rudimentaire.
  8. Tester pression et débit.
  9. Former agriculteurs.
  10. Suivi régulier après installation.

MG :

  1. Farito ny velaran-tany ho tondrahana.
  2. Manaova tsipika voly.
  3. Apetraho ny fantsona lehibe.
  4. Apetraho ny fantsona madinika misy lavaka.
  5. Asio lavaka na goutteur.
  6. Ampifandraiso amin’ny dobo rano.
  7. Asio sivana tsotra.
  8. Andramo ny tsindry sy rano mivoaka.
  9. Ampiofano ny tantsaha.
  10. Araho maso tsy tapaka.

Q10 : Comment intégrer le goutte-à-goutte dans une stratégie agroécologique ?

FR :

  1. Associer paillage permanent.
  2. Intégrer engrais organiques.
  3. Utiliser eau de pluie stockée.
  4. Coupler avec agroforesterie.
  5. Réduire pesticides chimiques.
  6. Optimiser fertilisation biologique.
  7. Favoriser biodiversité.
  8. Plan rotation cultures.
  9. Maintenir carnet de champ.
  10. Approche durable et circulaire.

MG :

  1. Mulch tsy tapaka.
  2. Ampiasao zezika organika.
  3. Tehirizo rano orana.
  4. Atambatra amin’ny agroforesterie.
  5. Mihena fanafody simika.
  6. Zezika biolojika tsara kokoa.
  7. Mandrisika ny fahasamihafana.
  8. Fifandimbiasana voly.
  9. Manoratra boky an-tsaha.
  10. Rafitra maharitra sy boribory.

19. Maladies fréquentes tomate

19. Maladies fréquentes tomate

FR :

  • Mildiou (taches brunes, humidité).
  • Alternariose (taches rondes concentriques).
  • Lutte : paillage, rotation, décoctions ail/neem.

MG :

  • Mildiou : tasy volontany.
  • Alternariose : tasy boribory.
  • Fomba fiarovana : mulch, rotation, fanafody zavamaniry.


📘 Sous-sujet : Maladies fréquentes de la tomate

Q1 : Quels sont les symptômes du mildiou de la tomate ?

FR :

  1. Taches brunes irrégulières sur feuilles.
  2. Bordures jaunâtres autour des taches.
  3. Feuilles qui se recroquevillent.
  4. Développement rapide par humidité.
  5. Taches sur tiges.
  6. Fruits tachés et pourrissants.
  7. Apparition de duvet blanc au revers des feuilles.
  8. Plante qui se dessèche rapidement.
  9. Maladie favorisée par pluie + chaleur.
  10. Peut détruire toute la culture.

MG :

  1. Tasy volontany amin’ny ravina.
  2. Manodidina mavo ny tasy.
  3. Ravina mivonto sy mivalona.
  4. Miparitaka haingana amin’ny hamandoana.
  5. Misy tasy amin’ny taho.
  6. Voankazo misy tasy sy lo.
  7. Misy volo fotsy eo ambanin’ny ravina.
  8. Zavamaniry maina haingana.
  9. Tena mipoitra amin’ny orana sy hafanana.
  10. Afaka manimba ny voly iray manontolo.

Q2 : Quels sont les symptômes de l’alternariose ?

FR :

  1. Taches rondes brunes sur feuilles.
  2. Cercles concentriques caractéristiques.
  3. Feuilles jaunissent et tombent.
  4. Taches sur tiges et pétioles.
  5. Fruits avec taches noires enfoncées.
  6. Maladie lente mais progressive.
  7. Se développe en saison sèche humide.
  8. Favorisée par blessures de la plante.
  9. Survient souvent après stress hydrique.
  10. Diminue rendement et qualité fruits.

MG :

  1. Tasy boribory volontany amin’ny ravina.
  2. Misy tsipika miolikolika.
  3. Ravina mavo ary mianjera.
  4. Tasy amin’ny taho sy ravinkazo.
  5. Voankazo misy tasy mainty.
  6. Mivoatra tsikelikely.
  7. Miseho amin’ny main-tany mando.
  8. Mipoitra rehefa misy ratra amin’ny zavamaniry.
  9. Mety amin’ny tsy fahampian-drano.
  10. Mihena ny vokatra sy ny kalitao.

Q3 : Quelles sont les conditions favorables au mildiou ?

FR :

  1. Humidité élevée.
  2. Pluies fréquentes.
  3. Températures 20–25 °C.
  4. Densité de plantation trop forte.
  5. Mauvaise aération.
  6. Paillage absent.
  7. Présence inoculum dans sol.
  8. Irrigation par aspersion.
  9. Déficit de rotation culturale.
  10. Variétés sensibles.

MG :

  1. Hamandoana avo.
  2. Orana matetika.
  3. 20–25 °C ny mari-pana.
  4. Zavamaniry mifangaro be loatra.
  5. Tsy misy rivotra tsara.
  6. Tsy misy mulch.
  7. Tany efa misy aretina.
  8. Fanondrahana amin’ny fiparitahan-drano.
  9. Tsy misy fifandimbiasana voly.
  10. Karazany mora marary.

Q4 : Quelles sont les conditions favorables à l’alternariose ?

FR :

  1. Temps chaud et humide.
  2. Sols contaminés.
  3. Résidus infectés non détruits.
  4. Blessures sur les plantes.
  5. Irrigation par aspersion.
  6. Déficit de rotation culturale.
  7. Variétés sensibles.
  8. Pluies irrégulières.
  9. Mauvaise fertilisation.
  10. Stress hydrique.

MG :

  1. Toetr’andro mafana sy mando.
  2. Tany misy aretina.
  3. Sisa tavela tsy nodorana.
  4. Zavamaniry maratra.
  5. Fanondrahana amin’ny fiparitahan-drano.
  6. Tsy misy fifandimbiasana voly.
  7. Karazany mora marary.
  8. Orana tsy ara-dalàna.
  9. Zezika tsy ampy.
  10. Tsy fahampian-drano.

Q5 : Quelles méthodes de prévention contre ces maladies ?

FR :

  1. Rotation culturale de 3–4 ans.
  2. Paillage permanent.
  3. Éviter irrigation par aspersion.
  4. Espacer plantations.
  5. Utiliser semences saines.
  6. Détruire résidus infectés.
  7. Introduire engrais organiques.
  8. Choisir variétés tolérantes.
  9. Aérer parcelles.
  10. Former agriculteurs.

MG :

  1. Fifandimbiasana voly 3–4 taona.
  2. Mulch tsy tapaka.
  3. Aza manondraka amin’ny fiparitahan-drano.
  4. Elanelana ny zavamaniry.
  5. Voa salama.
  6. Dorana ny sisa marary.
  7. Komposta sy zezika organika.
  8. Karazany maharitra aretina.
  9. Tany voaerina tsara.
  10. Fampiofanana tantsaha.

Q6 : Quelles sont les méthodes naturelles de lutte ?

FR :

  1. Décoction d’ail.
  2. Extrait de neem.
  3. Purin d’ortie.
  4. Purin de prêle.
  5. Huile de neem + savon noir.
  6. Décoction de piment.
  7. Macération de papayer.
  8. Application Bacillus subtilis.
  9. Biocontrôle à base de Trichoderma.
  10. Associations culturales protectrices.

MG :

  1. Rano tongolo lay.
  2. Rano neem.
  3. Rano anana ortie.
  4. Rano horsetail.
  5. Neem + savony mainty.
  6. Rano sakay.
  7. Rano ravina papay.
  8. Bacillus subtilis.
  9. Trichoderma.
  10. Fampiarahana voly miaro.

Q7 : Quels sont les impacts du mildiou sur la production ?

FR :

  1. Baisse de rendement 30–80 %.
  2. Fruits non commercialisables.
  3. Perte rapide des feuilles.
  4. Récolte prématurée obligatoire.
  5. Perte qualité gustative.
  6. Augmentation coûts lutte.
  7. Perte de semences locales.
  8. Découragement producteurs.
  9. Baisse revenus ménages.
  10. Insécurité alimentaire accrue.

MG :

  1. Mihena 30–80 % ny vokatra.
  2. Tsy azo amidy ny voa.
  3. Very ravina haingana.
  4. Mila mijinja aloha.
  5. Mihena ny tsiron’ny voa.
  6. Mitombo ny vidin’ny fanafody.
  7. Very voa nentim-paharazana.
  8. Tantsaha kivy.
  9. Mihena ny vola miditra.
  10. Mihena ny sakafo.

Q8 : Quels sont les impacts de l’alternariose sur la production ?

FR :

  1. Rendement réduit de 20–50 %.
  2. Fruits tachés.
  3. Moins bonne conservation.
  4. Mauvaise qualité marchande.
  5. Besoin plus de main-d’œuvre.
  6. Plus de traitements.
  7. Récolte retardée.
  8. Moins de revenus.
  9. Dépendance semences sensibles.
  10. Moins d’acceptabilité marché export.

MG :

  1. Mihena 20–50 % ny vokatra.
  2. Voankazo misy tasy.
  3. Tsy maharitra ela.
  4. Tsy tsara eny an-tsena.
  5. Mila asa fanampiny.
  6. Mila fanafody betsaka.
  7. Tara ny fijinjana.
  8. Mihena ny vola.
  9. Miankina amin’ny voa mora marary.
  10. Tsy ekena amin’ny tsena ivelany.

Q9 : Quels autres bio-indicateurs de prévention observer ?

FR :

  1. Hygrométrie élevée > 85 %.
  2. Pluies continues.
  3. Feuillage très dense.
  4. Excès azote favorisant maladies.
  5. Déficit potassium.
  6. Présence taches initiales.
  7. Forte rosée du matin.
  8. Vent faible = mauvaise aération.
  9. Humidité au sol stagnante.
  10. Températures douces.

MG :

  1. Hamandoana > 85 %.
  2. Orana tsy tapaka.
  3. Ravina be loatra.
  4. Azota be loatra.
  5. Tsy ampy potasioma.
  6. Tasy kely hita.
  7. Rano ando maraina betsaka.
  8. Tsy misy rivotra.
  9. Tany mando be.
  10. Mari-pana antonony.

Q10 : Comment intégrer la gestion des maladies tomates dans une stratégie agroécologique ?

FR :

  1. Rotation culturale stricte.
  2. Paillage permanent.
  3. Fertilisation organique.
  4. Préserver biodiversité auxiliaires.
  5. Utiliser extraits végétaux.
  6. Réduire pesticides chimiques.
  7. Espacer plantations.
  8. Surveillance participative paysanne.
  9. Tenir carnet de champ.
  10. Approche intégrée (IPM).

MG :

  1. Fifandimbiasana voly hentitra.
  2. Mulch tsy tapaka.
  3. Zezika organika.
  4. Fiarovana bibikely mahasoa.
  5. Fanafody zavamaniry.
  6. Mihena simika.
  7. Elanelana ny zavamaniry.
  8. Fandraisana anjara tantsaha.
  9. Boky an-tsaha.
  10. IPM (fitantanana mitambatra).

20. Ravageurs tropicaux principaux

20. Ravageurs tropicaux principaux

FR :

  • Chenilles légionnaires (maïs).
  • Mouche mineuse (tomate).
  • Pucerons.
  • Biocontrôle : trichogramma, extraits neem, pièges jaunes.

MG :

  • Bibikely mpihinana katsaka.
  • Lalitra manimba ravina voatabia.
  • Voangory madinika.
  • Biokontrôla : trichogramma, neem, fandrika mavo.


📘 Sous-sujet : Ravageurs tropicaux principaux

Q1 : Quels sont les principaux ravageurs des cultures tropicales ?

FR :

  1. Chenilles légionnaires (maïs).
  2. Mouche mineuse (tomate).
  3. Pucerons.
  4. Thrips.
  5. Acariens rouges.
  6. Criquets.
  7. Termites.
  8. Rongeurs.
  9. Oiseaux granivores.
  10. Nématodes racinaires.

MG :

  1. Bibikely mpihinana katsaka.
  2. Lalitra manimba ravin-tomaty.
  3. Voangory madinika.
  4. Thrips.
  5. Moka mena.
  6. Valala.
  7. Fanenitra.
  8. Voalavo.
  9. Vorona mpihinana voa.
  10. Nematoda amin’ny faka.

Q2 : Quels dégâts causent les chenilles légionnaires ?

FR :

  1. Dévorent feuilles de maïs.
  2. Attaquent jeunes plantules.
  3. Creusent galeries dans tiges.
  4. Ralentissent croissance.
  5. Diminution rendement.
  6. Attaques massives en période sèche.
  7. Transmission maladies secondaires.
  8. Peuvent détruire champ entier.
  9. Multiplication rapide.
  10. Difficiles à contrôler chimiquement.

MG :

  1. Mihinana ravin-katsaka.
  2. Manimba zana-ketsa.
  3. Mandavaka taho.
  4. Manemotra fitomboana.
  5. Mihena ny vokatra.
  6. Miseho betsaka amin’ny main-tany.
  7. Mitondra aretina hafa.
  8. Afaka manimba saha iray manontolo.
  9. Mivelatra haingana.
  10. Sarotra fehezina amin’ny simika.

Q3 : Quels dégâts causent les mouches mineuses ?

FR :

  1. Galeries dans feuilles de tomate.
  2. Réduction photosynthèse.
  3. Feuilles jaunissent.
  4. Chute prématurée feuilles.
  5. Faible croissance.
  6. Moins de fleurs.
  7. Fruits plus petits.
  8. Porte d’entrée maladies.
  9. Récolte réduite.
  10. Rendement perdu jusqu’à 30 %.

MG :

  1. Mandavaka ravina voatabia.
  2. Mihena fotosintazy.
  3. Ravina mavo.
  4. Ravina mianjera aloha.
  5. Fitomboana malemy.
  6. Voninkazo vitsy.
  7. Voankazo kely.
  8. Mora tratran’aretina.
  9. Mihena vokatra.
  10. Very hatramin’ny 30 %.

Q4 : Quels dégâts causent les pucerons ?

FR :

  1. Sucent sève des plantes.
  2. Ravines déformées.
  3. Transmission virus.
  4. Retard croissance.
  5. Fruits déformés.
  6. Excès miellat sur feuilles.
  7. Attirent fourmis.
  8. Augmentent fumagine noire.
  9. Récolte diminuée.
  10. Reproduction très rapide.

MG :

  1. Mitsentsitra ranon’ny zavamaniry.
  2. Ravina miolikolika.
  3. Mitondra virozy.
  4. Fitomboana tara.
  5. Voankazo miova endrika.
  6. Ravina mitaratra rano mamy.
  7. Misarika vitsika.
  8. Miteraka aretina mainty (fumagine).
  9. Mihena vokatra.
  10. Mivelatra haingana be.

Q5 : Quels moyens de biocontrôle pour les chenilles légionnaires ?

FR :

  1. Lâchers de trichogramma (parasitoïdes).
  2. Bacillus thuringiensis (Bt).
  3. Extraits de neem.
  4. Pièges lumineux.
  5. Ramassage manuel larves.
  6. Maintien biodiversité auxiliaires.
  7. Filets anti-insectes.
  8. Récolte résidus après culture.
  9. Rotation culturale.
  10. Semis précoces pour éviter pics.

MG :

  1. Trichogramma (bibikely miady).
  2. Bacillus thuringiensis (Bt).
  3. Rano neem.
  4. Fandrika jiro.
  5. Fanangonana amin’ny tanana.
  6. Fikarakarana bibikely mahasoa.
  7. Harato miaro voly.
  8. Fanalana sisa voly.
  9. Fifandimbiasana voly.
  10. Famafazana aloha.

Q6 : Quels moyens de biocontrôle pour les mouches mineuses ?

FR :

  1. Pièges jaunes englués.
  2. Extraits de neem.
  3. Ramassage feuilles atteintes.
  4. Introduire parasitoïdes locaux.
  5. Filets anti-insectes.
  6. Rotation culturale.
  7. Paillage réduit émergence.
  8. Association tomate + basilic.
  9. Surveillance participative.
  10. Réduire traitements chimiques.

MG :

  1. Fandrika mavo misy lakaoly.
  2. Rano neem.
  3. Manala ravina marary.
  4. Parasitoïdes natoraly.
  5. Harato miaro voly.
  6. Fifandimbiasana voly.
  7. Mulch manakana bibikely.
  8. Tomaty + basilika.
  9. Fanaraha-maso miaraka amin’ny tantsaha.
  10. Mihena simika.

Q7 : Quels moyens de biocontrôle pour les pucerons ?

FR :

  1. Extraits de neem.
  2. Savon noir dilué.
  3. Décoction d’ail.
  4. Introduction coccinelles.
  5. Introduction chrysopes.
  6. Maintien haies vives.
  7. Paillage permanent.
  8. Irrigation équilibrée.
  9. Surveillance continue.
  10. Formation paysans IPM.

MG :

  1. Rano neem.
  2. Savony mainty.
  3. Rano tongolo lay.
  4. Famotsorana valala mena (coccinelle).
  5. Famotsorana chrysopes.
  6. Fikarakarana kirihitra.
  7. Mulch tsy tapaka.
  8. Fanondrahana antonony.
  9. Fandinihana tsy tapaka.
  10. Fampiofanana IPM.

Q8 : Quels sont les avantages du biocontrôle par trichogramma ?

FR :

  1. Parasitoïde des œufs d’insectes.
  2. Réduction populations avant éclosion.
  3. Sans danger pour l’homme.
  4. Sans danger pour animaux.
  5. Compatible agroécologie.
  6. Efficace contre chenilles.
  7. Réduit usage pesticides.
  8. Maintient biodiversité.
  9. Facile à introduire.
  10. Peu coûteux à long terme.

MG :

  1. Bibikely miady amin’ny atodin-javamaniry.
  2. Mihena alohan’ny hipoitra ny bibikely.
  3. Tsy mampidi-doza ho an’ny olona.
  4. Tsy mampidi-doza ho an’ny biby.
  5. Mety amin’ny agroécologie.
  6. Mahomby amin’ny bibikely.
  7. Mihena fanafody simika.
  8. Mitazona fahasamihafana.
  9. Mora ampidirina.
  10. Tsy lafo amin’ny fotoana maharitra.

Q9 : Quels sont les avantages des extraits de neem ?

FR :

  1. Répulsif naturel.
  2. Perturbe reproduction insectes.
  3. Inhibe appétit ravageurs.
  4. Respecte auxiliaires.
  5. Dégradable rapidement.
  6. Efficace sur pucerons, mouches, chenilles.
  7. Facile à préparer localement.
  8. Peu coûteux.
  9. Compatible bio.
  10. Sans résidus chimiques.

MG :

  1. Fanafody voajanahary.
  2. Manakana fiterahana bibikely.
  3. Manakana bibikely tsy hihinana.
  4. Tsy manimba bibikely mahasoa.
  5. Potika haingana.
  6. Mahomby amin’ny voangory, lalitra, lafika.
  7. Mora atao amin’ny toerana misy.
  8. Tsy lafo.
  9. Mety amin’ny bio.
  10. Tsy misy loto simika.

Q10 : Comment intégrer la lutte contre les ravageurs dans une stratégie agroécologique ?

FR :

  1. Diversification cultures.
  2. Associations culturales.
  3. Rotation culturale.
  4. Paillage permanent.
  5. Utiliser biocontrôle (neem, trichogramma).
  6. Maintenir haies vives.
  7. Favoriser auxiliaires naturels.
  8. Réduire pesticides chimiques.
  9. Former agriculteurs IPM.
  10. Suivi participatif.

MG :

  1. Voly isan-karazany.
  2. Fampiarahana voly.
  3. Fifandimbiasana voly.
  4. Mulch tsy tapaka.
  5. Biokontrôla (neem, trichogramma).
  6. Fikarakarana kirihitra.
  7. Mitazona bibikely mahasoa.
  8. Mihena simika.
  9. Fampiofanana IPM.
  10. Fanaraha-maso miaraka amin’ny tantsaha.

Fonctionnalité 1

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