Enrichir avec une couche RAG les MOOC
👉 L’optimisation consiste alors à ne pas réinventer le contenu, mais à l’enrichir avec une couche RAG qui :
- Indexe les supports du MOOC (vidéos, PDF, transcriptions, quiz).
- Permet à l’étudiant de poser une question en langage naturel (FR/MG/EN).
- Le RAG renvoie un extrait ciblé (par. d’un cours, séquence vidéo horodatée, diapo PDF).
- L’assistant ajoute un pas-à-pas ou exemple localisé (ex. tomate à Madagascar, manioc en Afrique de l’Ouest).
Est-ce optimal ?
-
Oui, car :
- Contenu académique = validité scientifique et institutionnelle.
- RAG conversationnel = accessibilité, contextualisation, personnalisation.
- On libère le prof de la répétition (“c’est expliqué dans la vidéo 2 à 14’30”).
-
Encore plus optimal si on ajoute une couche :
- Localisation des cas pratiques : l’étudiant peut demander “applique au climat de Diego Suarez” → le RAG complète le MOOC avec un corpus documentaire local (prix intrants, climat FAOstat, rendements).
- Liens transverses : l’assistant fait dialoguer plusieurs MOOCs (ex. agroécologie + économie rurale).
Corps documentaire “encore plus optimal”
Un RAG hybride :
- Corps principal = MOOCs existants (Agreenium, FAO, etc.)
- Corps secondaire = corpus local enrichi (documents régionaux, données INSTAT, fiches Odoo, notes de cours enseignants)
- Corps transversal = glossaire FR/MG/EN + FAQ construite au fur et à mesure des questions des étudiants
👉 Donc le vrai “optimal” n’est pas de choisir entre MOOC ou RAG, mais :
- MOOC comme socle (structure, référentiel, crédibilité).
- RAG comme passerelle (personnalisation, dialogue, contextualisation).